1. A L'époque de L'argentique


    Datte: 06/02/2025, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: byPlaisirs54, Source: Literotica

    Aujourd'hui, peu de monde imagine que les photos, à une époque, venaient d'une pellicule argentique que l'on développait sur papier glacé.
    
    Nous étions à cette époque jeunes et beaux, libertins dans l'âme, et, dans ce cadre, nous participions à ce qu'il convient d'appeler des soirées privées organisées par la bourgeoisie nancéienne.
    
    Peu de danger alors, de voir des photos compromettantes diffusées à votre insu : d'une manière générale, la prise de clichés était prohibée ou, si photos il y avait, elles ne se faisaient qu'avec l'accord explicite de ceux qui figuraient dessus et n'avaient pas vocation à être divulguées.
    
    La petite anecdote que je vous conte ici sera mieux comprise, donc, par les anciens que par les générations « tout numérique ».
    
    Thibault et moi avions été conviés à une soirée très sympa chez Sabine, une jeune et jolie avocate de la place. Le principe de base était assez simple : entre adultes consentants, tout ce qui n'était pas explicitement refusé au préalable était considéré comme admis. Chaque participant payait pour assister à ces moments particuliers, le ticket d'entrée étant suffisamment élevé pour garantir une certaine tranquillité d'esprit vis-à-vis des partenaires présents (même si je ne pose pas la question d'argent en principe définitif...)
    
    Ce soir-là, excellente ambiance, couples participants raffinés, buffet et boissons haut de gamme : dans ce contexte, on se laisse vite aller à des jeux très sympathiques, on glisse lentement vers ...
    ... une débauche contrôlée, jusqu'à accepter des petits défis que ni les vapeurs d'alcool ni l'envie de voir jusqu'où on est capable d'aller ne font refuser. Jérôme, le mari de Sabine, en pose ainsi un quelque peu singulier : il allait photographier mes activités, la pellicule serait confiée à un photographe local et j'irais en personne récupérer les photos en boutique avec Sabine comme témoin.
    
    Accepter de relever le gant dans le contexte soirée entre gens initiés et consentants n'était pas une performance en soi. Assumer ce choix une semaine plus tard, dans un lieu grand public est une autre épreuve...
    
    Sabine m'appelle par un bel après-midi de mars : la boutique photo vient de la contacter, nos clichés sont à disposition. Sabine me suggère de passer la prendre chez elle, ce que je fais. C'était sans compter sur son côté très joueuse, aimant pousser les choses à l'extrême. Je renâcle pour la forme, mais la douceur de ses lèvres et la délicatesse de ses caresses me font fondre. Quand nous quittons la maison, je suis nue sous mon manteau, perchée sur mes talons, parée de quelques accessoires par elle choisis.
    
    Nous pénétrons quelques minutes plus tard dans la boutique « Les Tamaris », célèbre magasin photos de Nancy sur l'esplanade de la gare. Comme à l'accoutumée, il y a foule et nous patientons Sabine et moi, main dans la main.
    
    Arrive notre tour. Le jeune vendeur prend notre ticket, fouille dans le grand tiroir derrière lui, en ressort ce qui manifestement est notre ...
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