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Un Fantasme Qui Tourne Mal
Datte: 05/02/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bydicordoba, Source: Literotica
... fus abasourdi. À la fois horrifié mais aussi excité, j'avais du mal à réaliser ce qui se passait vraiment. Ils allaient s'occuper à deux de ma chérie, lui faire des choses obscènes, elle qui était si douce. J'étais sûr qu'elle leur offrait son corps sans aucune restriction tout en hurlant de plaisir alors que je restais pourtant sans rien faire. Elle s'était habillée en pute et ces hommes devaient la traiter comme telle. Ma femme était un petit gabarit et ils allaient sûrement la détruire, la baiser comme jamais elle ne l'avait été. Ils allaient sûrement la prendre par le cul, chose qu'elle m'avait toujours refusée et peut-être même la prendre par les deux trous. Ces pensées malsaines me faisaient bander et de savoir ma petite femme entre leurs mains m'excitait de plus en plus. Je ne pouvais pourtant pas la laisser ainsi, je l'aimais et en sachant que deux routiers étaient en train de la baiser, je devais réagir. Je me décidais à mettre le contact, faisant tourner le moteur. J'allais passer la première pour aller la chercher mais une voix me criait de ne pas y aller. Et si elle m'en voulait d'avoir interrompu le fantasme de sa vie. Peut-être ne me pardonnera-t-elle jamais si je vais la chercher alors qu'elle prend son pied. Je ne savais plus du tout quoi faire et sans vraiment m'en rendre compte je coupais le contact. Après tout je lui avais demandé de ne pas y aller et de rester près de la voiture. Le routier ne l'avait pas forcé et c'est elle qui ...
... l'avait suivi sans y être obligé. Du coup je décidais de ne pas bouger, essayant d'imaginer ce qu'elle devait subir. J'imaginais son superbe corps nu, tripoté dans tous les recoins. Ses adorables seins devaient être malaxés par les grosses mains rugueuses des hommes. J'imaginais sa chatte, prise par des queues énormes et son cul élargi sans aucun lubrifiant. Je les imaginais la remplissant de sperme, saturant ses trois trous de leur semence épaisse. Je la voyais obéissante qui se pliait à leurs moindres désirs et qui les laissait tout lui faire sans rien dire. Une demi-heure devait s'être écoulée depuis que le deuxième routier était rentré dans la cabine lorsque la porte s'ouvrit de nouveau. Le gros en descendit sûrement pour reprendre son souffle. Il avait remis son pantalon mais était resté torse nu car il n'en avait sûrement pas fini avec ma petite femme. Il alluma une cigarette laissant le jeune seul dans la cabine, pour continuer sûrement avec ma petite épouse. Ma femme était devenue leur pute, leur vide couille et cela ne me révoltait plus. Je l'aimais même de plus en plus et pourtant je leur laissais son corps, trouvant cela très excitant. Le routier prit son temps pour fumer et lorsqu'il l'écrasa enfin ce fut pour passer un coup de téléphone qui dura environ cinq minutes. Une fois son coup de fil terminé, il remonta dans la cabine pour rejouer avec ma femme. Cela faisait plus d'une heure qu'elle était entre leurs mains et ils continuaient ...