Un Fantasme Qui Tourne Mal
Datte: 05/02/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bydicordoba, Source: Literotica
... reflétait dessus, je savais que j'étais invisible du parking. Si j'étais légèrement inquiet c'était surtout pour elle car elle était vraiment très peu vêtue.
Je savais qu'elle avait très peur et pourtant elle marchait tranquillement, comme si tout cela était normal. Heureusement que c'était dans un endroit où il n'y avait aucun passage de véhicules car dans le cas contraire je savais qu'elle ne l'aurait jamais fait.
En la voyant s'éloigner j'eus une boule au ventre doublée d'un sentiment étrange. Même s'il s'agissait de ma femme, je la trouvais tellement magnifique que j'avais presque envie qu'elle soit vu par d'autres personnes.
Après de longues minutes que je trouvais interminable elle arriva enfin au niveau des poids lourds, ce qui me soulagea. Elle allait commencer à revenir sur ses pas lorsqu'une porte d'un des véhicules s'ouvrit laissant apparaître un homme de forte corpulence.
C'était un magnifique camion de type américain dont la cabine profonde était sûrement aménagée à la façon d'un camping-car. Il sortit par la porte de côté donnant sur l'arrière de la cabine et parut étonné en découvrant mon adorable épouse. Il faut dire qu'il ne devait sûrement pas voir tous les jours une femme aussi légèrement vêtue qui exhibait un corps parfait.
Je commençais à paniquer en me demandant si je ne devais pas mettre la voiture en marche pour aller la chercher. Et pourtant, en voyant l'homme se diriger vers ma femme habillée comme une pute, je fus en même temps ...
... excité. Inconsciemment j'avais espéré que quelqu'un d'autre que moi puisse admirer cette jolie créature et de le voir aussi près de ma chérie suscita en moi un étrange sentiment.
Je ne sais pas pourquoi, mais ma femme restait immobile, laissant l'homme se placer en face d'elle pour lui parler un peu. J'étais trop loin pour entendre leur conversation mais j'imaginais Julie expliquant paniquée qu'elle n'était pas une pute. Elle était complètement figée, tel un soldat au garde-à-vous, sûrement tétanisée par une frayeur sans nom.
Ils discutèrent de longues minutes avant que l'homme ne se retourne pour reprendre la direction de son camion. En le voyant partir, cela me soulagea mais ce ne fut que de courte durée.
Quelle ne fut pas ma surprise en voyant mon épouse lui emboîter le pas, le suivant vers sa cabine, hésitante mais aussi consentante.
Non, ça ne devait pas se passer comme ça, ne comprenant pas pourquoi elle agissait ainsi. Je me faisais sûrement des idées, il allait lui donner quelque chose et elle allait revenir.
Je crus que mon cœur allait s'arrêter de battre lorsqu'il ouvrit la porte latérale de sa cabine et qu'il se mit sur le côté pour la laisser monter.
Ce n'était pas possible, c'était un vrai cauchemar, surtout lorsque je vis Julie grimper les petites marches. L'homme, pour aider ma femme, lui mit la main aux fesses, les pelotant sans vergogne sans qu'elle ne réagisse.
Je crus bien défaillir lorsqu'il rentra dans le camion juste après elle et qu'il ...