L'initiation de la petite nouvelle
Datte: 05/02/2025,
Catégories:
grp,
frousses,
Collègues / Travail
uniforme,
grossexe,
sport,
boitenuit,
Voyeur / Exhib / Nudisme
facial,
Oral
préservati,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
init,
Humour
totalsexe,
Auteur: Jacquou, Source: Revebebe
Résumé des épisodes précédents :
Les retombées de l’affaire résumée, la « sextape auditive », étaient encore très commentées à la machine à café lorsque le hasard mit en présence dans l’ascenseur la DRH prénommée Nadine et Fabien. Celui-ci marqua une gêne manifeste en présence de celle qui avait dû statuer sur son cas, d’autant qu’elle le considérait avec une lueur ironique dans le regard. Au moment de sortir de l’ascenseur à son étage, qui n’était pas celui de Fabien, car réservé aux cadres, elle l’interpella :
— Venez donc dans mon bureau, si vous avez cinq minutes.
Fabien se demanda ce que le sort allait encore lui réserver, déjà qu’il ne se faisait plus d’illusion sur sa promotion. La DRH et son côté« executive woman » en tailleur chic et talons hauts n’avait rien de rassurant, même si elle était incontestablement belle femme avec ses cheveux teints en blond coupés courts, ses yeux bleus et ses longues jambes fines. Mais un peu glaçante quand même.
Assis non devant son bureau, mais sur un fauteuil où elle avait également pris place face à lui, il se détendit légèrement. Ce n’était pas un contexte de sanction. De fait, tout en croisant haut les jambes, elle lui demanda, un sourire en coin :
— Alors, comment ça va avec votre épouse ? Elle a réagi comment à votre histoire, si vous lui avez tout raconté, bien sûr ?
— Ben, c’est que… je suis en instance de divorce, alors…
— Je vois. Vous êtes un homme libre, en somme, de faire un peu n’importe quoi.
— Je ...
... regrette ce qui s’est passé.
— Allons, allons… Vous avez vécu un bon moment quand même, non ?
— Je ne peux pas dire le contraire.
— Vous voyez. Pas la peine de me faire le coup de la culpabilité. D’autant que votre collègue ne s’est pas plainte non plus, à ce que j’ai entendu.
Fabien se demanda où la DRH voulait en venir. Ce n’était pas un entretien classique, c’était le moins qu’on pouvait en dire.
— Bon, j’ai vu dans votre dossier que vous jouez au tennis. Moi aussi. Vous êtes classé ?
— Non, je joue comme ça, en amateur.
— J’ai été classée il y a quelques années, mais je manque d’un partenaire, le mien s’est blessé. Cela vous dirait de jouer avec moi à l’heure du déjeuner ?
— Avec plaisir. Vous jouez où ?
— J’ai un court couvert privatisé. Vous êtes libre tout à l’heure ?
Il l’était, bien heureux de s’en tirer à si bon compte. Il retrouva la DRH à l’heure et au lieu convenus. Elle se présenta vêtue d’un mini short mettant en valeur ses jambes interminables et un débardeur. Ses coups droits étaient puissants, son service impeccable, et il perdit deux sets à zéro non sans avoir vaillamment résisté. Ils prirent une douche dans leur vestiaire respectif et se donnèrent rendez-vous pour le lendemain. À l’évidence, il lui avait plu, au moins sur le court.
Deux autres matches suivirent puis un troisième. Une certaine complicité s’était fait jour. Il apprit qu’elle était également en instance de divorce (« le boulot, vous comprenez ») et qu’elle n’avait pas ...