Satine et la sororité « Beta, zêta, gamma » 5
Datte: 04/02/2025,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds
... seras donc ma dauphine dans notre sororité! »
Mais je n’ai pas le temps de me réjouir car pour Patrice, il se fout de cette promotion. Il me tient solidement et ne bouge plus, laissant le temps à mon sphincter de s’acclimater. Mon cul se dilate comme par enchantement et il peut maintenant me défoncer de toute sa monstrueuse bite d'âne. Son ventre tape contre mes fesses quand il rentre tout au fond de moi, au plus profond de mon corps. Des larmes coulent sur mes joues, de plaisir, de douleur et d'humiliation. Je suis en train de me faire enculer par mon frère devant une quinzaine de personne ! Je sens soudain la chaleur de sa queue en moi. Si le gland décalotté est entré sans coup férir, le préservatif n’a pas pu résister et a éclaté comme un fruit trop mûr.
Mes mains toujours sur ses épaules, les fesses écartelées par ses mains fines, je suis sa chose. Il me pénètre inexorablement. Je pousse, moi aussi pour la réussite de notre entreprise. Je m’ouvre en train de subir le pire des supplices, celui du pal et j’y prends un certain plaisir.
- Ça te plait ? Me susurre-t-il à l’oreille, de te faire enculer par ton "frère" devant tes copines ?
¬C’est bon, fort, très fort mais délicieux. La lente mais inexorable poussée continue, je sens le contact de ses couilles sur le bas de mes fesses. Il est entré, tout entré. Il reste quelques instants, immobile, pour que ma rondelle accepte la dimension de son mandrin. Je n’aurais pas imaginé qu’un jour je me ferais sodomiser ...
... par mon demi-frère au sexe démesurément épais. Je sens cet énorme trique au plus profond de moi et je dois dire que j’y prends un réel plaisir.
Il se met enfin en mouvement et commence à me pistonner de coups de bites puissants. Il m’encule à une allure très rapide. Les deux premières minutes passées, la douleur s'envole pour laisser place à une forme de plaisir. Mon vagin dégage une vague de chaleur et coule comme une fontaine. Je me sens fondre de plaisir avec cette énorme bite qui me défonce le fondement. Patrice me lime plus dur, me faisant grimacer et frissonner aussi quand il enfonce sa gigantesque tige dans mon cul jusqu’à ses grosses couilles. Je ne me suis jamais sentie aussi remplie de toute ma vie. Mon sphincter se contracte de façon incontrôlable, se serrant constamment autour de la rigidité énorme qui occupe mes boyaux. Je suis en train de me faire mettre grave. Je n’en peux plus de jouir, de crier à chaque orgasme. Patrice est un vrai phénomène.
J’ai soudain envie de sucer ce sexe monstrueux qui m’a donné tant de plaisir. Je me dégage avec difficulté de son pic, glisse entre ses jambes et m’accroupis devant sa teub que je saisis à deux mains. Ma langue fait plusieurs fois doucement le tour de la partie découverte par le prépuce. Je lui lèche à petits coups le frein, le gland, ma langue s’insinue dans la fente du méat où apparait une goutte de pré-sperme, cela suffit pour déclencher une nouvelle éruption spermique incontrôlable. Toutes les filles se sont ...