Histoires avec ma cousine. (7) - Histoires de Sexe

Histoires avec ma cousine. (7)

... bout de tissu.

Rose : Vous pouvez les retirer, je me retourne !

Moi : Bien, puisque vous insistez !

Je me suis déshabillé et après avoir enfilé le peignoir, je lui ai donné mes vêtements. Elle lança le programme et nous remontons au salon.

Rose : Ne me vouvoie plus, je m’appelle Rose !

Moi : Moi c'est Luc !

Rose : Luc ça te dérangerais de t'asseoir avec moi pendant que tu attends ?

Moi : Pas du tout, avec grand plaisir.

Nous nous asseyons sur le divan et je la regarde. Sa peau était basanée et elle portait un short ainsi qu'un chemisier blanc noué sur le nombril. Ses seins écrasés par son chemisier bombaient dans son profond décolleté.

Moi : Madame... Je veux dire Rose, tu as l'air si jeune pour être mariée. Pardon, désolé pour indistinction !

Rose : Ne t'inquiète pas. Je te remercie pour le compliment ! Je me suis mariée à seize ans. Et c'était il y a dix ans. Mon mari a trente ans de plus que moi !

Moi : Wow ! C'est une grande différence. Vous êtes marié depuis si longtemps, vous devez avoir de très bonnes relations ?

Rose : Au début c'était bien. Surtout la partie... disons... au lit ! Tu vais ce que je veux dire ! Mais avec le temps, il a eu un froid. C'était peut-être de ma faute. Je ne sais pas pourquoi il n'en parle pas.

Moi : C'est peut-être des problèmes au travail. Je ne sais pas... ça arrive parfois.

Rose : Peut-être ! Mais comme je l'ai dit, " il ne me parle pas ". Il s'enfuit toujours quand j'aborde le sujet.

Elle ...

... semblait perdue, et désolée que son couple ai prit cette direction. Elle me faisait pitié.

Rose : En fait, je pense que je n'éveille plus le désir en lui. Je ne suis plus aussi jolie qu'avant.

Moi : Ne dis pas ça, Rose. Tu es belle. Si j'avais une femme comme toi, je ne passerais pas un jour sans... je veux dire... heu... les vêtements seront-ils secs ?

Je commençais à raconter n'importe quoi, il faut dire que qu'elle ne me laissait pas indifférente. Mais ce fut elle qui perdit ensuite le contrôle.

Rose : Hum ! Tu le jure ? Tu voudrais baiser avec moi tous les jours ? N'importe quand ? N'importe où ? Comme ici, maintenant ?

Moi : Bien sûr ! Je... je veux dire... heu... hé bien, je ...

Rose : J'ai compris ! Tu as dis cela uniquement pour être gentil avec moi ! Excuse-moi. J'ai cru pendant un instant que j'étais encore attirante. Imaginez qu'un beau jeune homme comme toi pourrait être excitée par moi ! Je suis une imbécile. Je vais voir si tes vêtements sont secs. Excuse-moi.

Elle descendit chercher mes vêtements, mais cette fois elle était vraiment déprimée. Et c'était en partie de ma faute. Je ne pouvais pas la laisser ainsi et simplement partir. La voilà qui revient, je sais ce que je dois faire.Elle me tend mes vêtementsMoi:Attends ! Oublions les vêtements ! Jettes un œil ici !

Je laisse tomber le peignoir et comme j'avais retiré mon boxer pendant qu'elle était dans la buanderie, je suis maintenant nu devant elle. Ma bite droite comme un I.

Moi : ...