"Les filles, elles aiment les massages..."
Datte: 30/01/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Secret-Lady, Source: Hds
... comme pour vite mettre en avant ce qu'il pense être un atout. J'avais réussi à lui faire dire qu'il y avait une femme et 2 jeunes enfants là-bas, à Bamako, alors ça y est, on était potes...
J'ai choisi le voyou.
Il n'y avait plus de place dans le petit sauna quand il est arrivé. Je provoquais ces mâles douteusement empressés à me séduire, au prétexte que j'étais la seule femme présente. Rappelez vous, c'est moi qui choisis, et la sensation d'être juste un cul, qui serait autant reluqué et convoité s'il était flétri par vingt années de plus, me donne juste l'envie de vous vamper, de vous faire ramper...
Ils m'ont tous suivie dans le fumoir, alors même que la plupart ne fumaient pas. En en sortant la queue entre les jambes, quand je le leur faisais remarquer, même pas conscients de leur propre sabordage dans cette course à ma chatte.
Le voyou, donc.
Et le détail qui a guidé mon attirance...
Il est arrivé dans les vestiaires, pour prendre une cigarette dans son casier, alors que je venais moi-même y chercher ma vapoteuse. Et m'en a spontanément proposer une, en me vouvoyant. J'ai alors remarqué l'ordre méticuleux de son casier, quand moi j'y fourre tout en vrac. Déo, shampooing, produit douche, eau de toilette... et huile. Tout un nécessaire bien aligné, qui contrastait avec sa dégaine de repris de justice aux tatouages un peu foireux.
Dans le fumoir, il a caressé ma jambe en me disant que j'avais la peau douce.
Je me suis enfermée avec lui. Lui et ...
... son huile.
Je crois que les autres, restés devant la porte à nous écouter, (et attendre visiblement "leur tour"), dorénavant, ne viendront plus au sauna sans un petit flacon.
Le voyou savait y faire...
Sur le ventre. Pétrissage des fessiers. Je devinais ses yeux. Je m'ouvrais pour sentir son regard s'engouffrer.
Mais c'est quand il s'est mis à me lécher un à un les orteils, que tout s'est emballé.
"Que veux tu, mon bébé ?"
En me chuchotant à l'oreille, il a littéralement pulvérisé mes dernières velléités de tout maîtriser. Il soulevait mon corps relâché étonnamment léger, mes cuisses en brouette sur ses épaules tatouées, pour porter mon cul à sa bouche, goulûment. De la baise généreuse, vorace et attentionnée. Crache sur mon visage, étrangle moi, encule moi comme si tu voulais me déchirer... Voilà, c'est ça que veut le bébé...
Le bébé a joui d'un plaisir totalement salvateur.
Les vagues brûlantes dont mon cerveau torturé et mon corps frustré avaient tant besoin, pour me propulser dans cette énergie là, ce plaisir qui m'est vital. Jouir à en perdre pied, à tourbillonner fugacement dans les étoiles, dans ce chant guttural de louve aux abois, ce son étrange que seul mon animal qui se réveille sait produire, ce cri de fantastique délivrance qui ne souffre d'aucune recette, d'aucun truc, d'aucun technicien...
Ce chant qui jaillit et ouvre en grand ma poitrine oppressée, libérateur et effrayant.
Le voyou avait réussi ça. Même avec la même approche ...