1. Lise, mon copain et moi


    Datte: 27/01/2025, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: RenaudetLise, Source: Hds

    ... oui, continue, encore ». Elle se calme et reprend la conversation cette fois-ci avec moi.
    
    - Alors mon petit soumis, tu as apprécié ?
    
    - Oui ma chérie tu sais bien que j’aime quand tu as du plaisir.
    
    - Sache que ton ami est formidable, il sait comment s’occuper des nichons d’une femme. Et toi comment va ton quiqui ?
    
    - Ca va, ça va bien que……- Ne soit pas gêné, Francis a vu ta cage, je lui en avais parlé avant ta venue. Alors tu as pu jouir ?
    
    - Non je suis trop serré je crois mais je voudrais bander. J’avais mal, un mal mélangé de plaisir.
    
    - Si tu es gentil je te libèrerai plus tard.
    
    Lise me prend ma main, alors que Francis continue à lui caresser ses « outres ». Elle la pose sur mon ventre et me dit « Caresse-moi aussi ». Que je suis heureux, je n’hésite pas, et caresse, tourné face à elle, son ventre qu’elle rentre bien, je descends sous le nombril, j’atteins sa fourche des cuisses qu’elle desserre. Je glisse mon doigt entre, je descends, arrive à son clitoris et plus bas je sens (je crois rêve) quelque chose de dur entre ses lèvres écartées. Le temps de réaliser. Oui c’est bien cela, elle a entre les lèvres, dans son sexe, une queue, la grosse queue de Francis. Je réalise qu’ils ont la position dite de la cuillère. Lui derrière elle, collé à elle, son vit au chaud.
    
    Elle sait que je sais, alors tout simplement elle dit à mon ami « Bouge un peu, travaille-moi » et je remarque qu’elle tend ses fesses vers lui. Je vois qu’il la prend par les hanches et ...
    ... commence à cogner. Il a libéré ses seins, j’en profite pour les prendre en main et à mon tour de les « torturer ». Elle apprécie, je vois cela à ses gémissements qui se transforment en hurlements, elle jouit une nouvelle fois.
    
    Je lâche ses seins, ses tétons n’ont jamais été avec moi aussi proéminents. Elle tend sa main vers la table de nuit où elle avait posé son collier avec la clé. « Approche, je vais te libérer ». C’est fait, elle enlève la cage de chasteté et d’un coup mon sexe, libre, se tend. Il est dur, long, quel soulagement. Je remarque que Francis est encore planté en elle, il n’a donc pas encore éjaculé et elle qui dit « Francis, refais-moi jouir et toi Renaud, caresse mon petit bouton ». C’est avec fierté que je le fais, je tourne autour du clitoris très dur et en même temps je sens une masse de chair coulisser dans le vagin. Il a vraiment un épais sexe, mon ami.
    
    Les coups de queue de Francis sont de plus en plus forts, violents, tout le corps de Lise est secoué et moi, d’une main je dégage son clito et de l’autre main je le taquine. Francis pousse un cri, il vient d’éjaculer en elle, des jets de cyprine sortent de la fente de Lise et inondent mes doigts ; moi-même, sans que je ne me touche, je gicle et mon sperme s’étale sur le ventre de notre femelle. Celle-ci crie, gesticule, se débat, puis s’apaise et se calme, épuisée. « Merci mes deux mâles, ce fut incroyable, Renaud, éteins la lumière et dormons un peu. » Elle s’allonge sur le dos, mon ami et moi nous ...
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