Lyon chapitre 2
Datte: 26/01/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: EK43, Source: Hds
... sexe mordues par des petites pinces crocodiles. Elle s'était endormie, rassurée, par la présence de son maître. Vers 16h, un coup de martinet, la tira de son sommeil. Qu'avait fait son maître durant ce temps ? Elle n'en sut rien. Toujours est il qu'un quart d'heure plus tard, elle se trouvait, plug dans les reins, poids aux seins à jouer à la balle dans la cour.
Son maître, lançait, et elle à quatre pattes, comme un chienne, courait, rampait dans la boue, rattrapait avec sa gueule, la balle de tennis, et rapportait en échange d'une bonne caresse. Puis attendait un nouveau lancer, à genoux langue sortie. Et ainsi de suite. Elle avait même dut aller chercher dans les buissons ont elle sentait encore les griffures. Ses seins martyrisés par les poids, elles ne les sentaient, même plus, quand aux genoux, ils étaient en sang et boueux. Épuisée, elle avait perdu la notion du temps. En plus, elle sentait la pisse, celle que son maître, venait de déverser sur son visage à longs jets.
Après une rapide douche, un nouveau jeu l'attendait. Quand elle arriva, dans la pièce elle eu la surprise de voir une feuille et des crayons sur la table. Un cours, une heure de cours ! De l'histoire médiévale, un cours sur la construction des châteaux. Ici des règles lui furent expliquée, car après l'heure de cours , vingt questions lui seraient posées. Pour chaque mauvaise réponse une claque sur les fesses, et si elle répondait bien à au moins seize reprises, le droit de sucer le ...
... professeur.
Confondre Versailles avec un château fort ! Dire qu'il y avait des oubliettes, alors que le professeur venait de dire, que ce que l'on a appelé « oubliettes », n'était pas une prison, mais à l'époque un simple garde-manger. Quatre bonne réponses ! Honte à Flore qui se retrouvait, en travers des genoux de son maître sévèrement fessée et obligée de compter les coups. Je suis sur qu'elle l'a fait exprès, pensa-t-il, mais quel cul délicieux, si doux. Il se sentait durcir, durcir.
- « Allez, mauvaise élève ! Debout penchée sur la table ! , ordonna-t-il sèchement, et écarte les jambes ».
Et vite, une queue dure qui s'enfilait dans sa chatte, puis se retirait trempée, pour s'appuyer contre son petit trou.
– « Enculez moi », s'entendit-elle supplier.
- « Tu es une pute qu'on encule !», répondit-il, en joignant le geste à la parole, mains calées sur ses hanches.
Les cris de plaisirs de Flore se mêlaient, aux insultes d'Éric. Des coups de boutoirs, et Flore qui répétait, encore, encore. Un relâchement, Erik qui s'écroulait sur elle, l'écrasant, jouissant dans les reins de sa pute. Comme ça, ils soufflèrent quelques instants, puis il s'assit, entraînant Flore à ses pieds. Celle-ci, heureuse lécha délicatement, la queue, pour la nettoyer. Sa merde, c'était sa merde, qui avait laissé des traces si odorantes, et elle en était fière.
L'heure du repas approchait, Flore demanda si son maître voulait un apéritif, mais il répondit que la seule chose qu'il voulait , c'était ...