La Détention
Datte: 26/01/2025,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: byParnoys, Source: Literotica
... insista-t-elle.
Arielle comprit alors que la punition commençait.
Elle retira sa petite robe rouge et apparut en soutien-gorge et slip. Pour l'occasion, elle avait mis ses plus beaux sous-vêtements. Mlle Germaine la regardait. Arielle sentit son regard qui se portait sur sa belle peau brune, sur son ventre, sur ses cuisses. En ce moment, elle n'était pas plus nue qu'elle ne l'était à la piscine, dimanche dernier. Mais Mlle Germaine n'avait pas bougé et la regardait toujours. D'un petit geste elle désigna le soutien-gorge de la jolie fille. Avec un sentiment de honte qui en même temps la remplissait d'un plaisir secret, Arielle dégrafa son soutien-gorge et le retira en le déposant sur le lit à côté de sa robe. Elle n'eut même pas le geste de cacher ses beaux seins qui pointaient fièrement vers Mlle Germaine.
Arielle savait bien qu'on ne s'arrêterait pas là.
- ça aussi" se contenta de dire Mlle Germaine en fixant ses yeux sur la jolie petite culotte.
Alors, sans se retourner, face à l'adjointe de la surveillante-générale, elle fit glisser son slip et s'en défit en soulevant les pieds. La culotte rejoignit les autres vêtements sur le lit. Pendant quelques instants Mlle Germaine regarda Arielle dans toute sa rayonnante nudité et Arielle rougit légèrement devant ce regard qui la faisait se sentir encore plus nue, tout en ressentant dans son corps un élan de plaisir d'être à la fois humiliée et admirée.
- Bien, donnez-moi aussi vos sandales" ajouta Mlle Germaine ...
... en prenant les vêtements qu'elle déposa dans l'armoire dont elle ferma la porte à clé.
Se retournant vers Arielle qui était là, devant elle, immobile et nue, elle lui lança :
- qu'attendez- vous pour mettre le peignoir? " comme si elle lui reprochait son impudeur.
Pendant qu'Arielle enfilait le peignoir, elle lui déclara en sortant de la chambre :
- je reviendrai un peu plus tard pour vous conduire devant Madame la Surveillante générale chargée des punitions.
Arielle l'entendit fermer la porte à clé : elle était prisonnière dans cette chambre sans autre vêtement que ce peignoir sous lequel elle se sentait nue. Elle remarqua que la chambre possédait une fenêtre qui donnait sur un puits de lumière. Elle se sentit encore un peu plus coupée du monde, enfermée dans l'univers de ses fantasmes favoris. Elle repensa à la scène qu'elle venait de vivre et en se la représentant elle la goûta encore plus. Elle savoura à nouveau l'humiliation délicieuse de s'être mise nue devant cette femme âgée, strictement habillée, qui la regardait avec tant de sévérité.
De son sac, elle sortit un livre. C'était précisément le livre de sciences qui lui rappela Mlle Gerfaut et l'incident qui lui valait d'être ici aujourd'hui. Au fond elle aurait bien aimé que Mlle Gerfaut la voie aussi, nue comme elle était tout à l'heure. Elle imagina son regard indigné et haineux. Elle ouvrit le livre mais ne réussit pas à fixer son attention sur le texte de la leçon qu'elle devait réviser. Son esprit ...