COLLECTION SOUMISSION. Commissaire de police (1/4)
Datte: 24/01/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
Plusieurs histoires de sexe commencent par la mort d’un parent proche laissant des documents ou des objets dévoilant la vraie personnalité de celle qui vient de mourir !
C’est le cas avec maman décédée il y a quelques jours et que j’ai enterrée.
Il me faut vendre sa maison, car il y a plusieurs années, j’ai quitté mon village bourguignon pour entrer à l’école des commissaires de police en Seine et Seine-et-Marne.
J’ai été reçu première et j’ai été nommé à un poste à la préfecture de police de Paris.
Je fais ma vie là-bas sans espoir de revenir vivre dans cette maison où j’ai grandi.
Il serait ridicule de payer des sommes folles pour entretenir cette maison alors que la vie à Paris est horriblement chère.
Sur la porte de mon bureau je suis fière de ma plaque « commissaire Dominique Dubois. »
Dans mon travail mon prénom me pose problème, « Dominique » aussi bien masculin que féminin.
Souvent lorsque l’on vient me voir, les gens pensent avoir un homme devant eux au lieu d’une femme.
Je compense par une certaine rudesse, bien que cela semble naturel chez moi.
De plus, cela déstabilise certains caïds de banlieue d’être obligé d’étaler leur vie devant une femme.
Je voulais un métier d’homme qui en impose à ceux que je dirige ou que je reçois dans le cadre de mon travail comme ces caïds dont je viens de parler.
Je sépare les choses que je souhaite garder et celles que Sylvain le fils de nos voisins va emmener à la déchèterie avec sa ...
... remorque.
Je range le bas de mon armoire de jeunesse lorsque je tombe sur un carton à chaussures.
Tient c’est bizarre, des cahiers à dessins complètement oubliés.
J’ouvre le premier, est-ce possible que ce soit moi qui ai fait ces dessins ?
Tous ont pour modèle une jeune fille qui semble être soumise à celle qui la croque au crayon noir.
Une phrase décrivant la scène, « voilà ce que j’aimerais faire Françoise Gaubert, juin 1 980. »
Ce nom me dit quelque chose et soudain la mémoire me revient.
J’avais treize ou quatorze ans à cette date quand j’ai imaginé et croqué Françoise Gaubert » sur ce cahier.
Françoise s’était le souffre-douleur de toutes les autres filles, il faut dire qu’elle était rousse et que les filles disaient qu’elle puait.
Ce dessin la montre dans une position de soumission, les mains attachées et une main lui tirant fortement en arrière sa queue-de-cheval.
Tous, une dizaine, sont du même acabit, avec le nom de Françoise et des dates après juin 1 980.
Je me souviens aussi que mon envie de soumettre des gens vient de cette période, j’avais complètement oublié.
Un soir, maman venait de rentrer avec un énième amant, depuis le départ de papa avec la voisine, elle collectionnait les aventures.
Dans la nuit j’ai eu envie de pisser, bon, je dois être franche, j’ai senti mes règles arriver, je les avais depuis mes douze ans et il me fallait un tampon.
Du bruit dans la salle de bains jouxtant les toilettes et j’ai entendu ce qu’une fille de ...