1. Le Maillot


    Datte: 23/01/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Jpj, Source: Hds

    ... nue qui passe et rapasse aux porte-fenêtres de mon étage en habit de nuditude fortement poilue.
    
    Les garçons se pressent aux balcons alentours.
    
    Ce qui plait le plus, ce n’est pas mon pubis largement habillé de toison épaisse qui cache discrètement mes secrets non plus que mes hauts de cuisse couverts jusqu’à mi-hauteur de poils longs et fins comme duvet presque transparent. Non, ce qui plait aux gars, ce sont mes fesses, mes petites fesses de fille sportive qui lieu d’être toutes roses toutes fraîches toutes propres sont vêtues de noire fourrure comme une fine chevelure largement couvrante et bien régulière mais malheureusement pas bien épaisse.
    
    En plus, je ne vous l’ai pas dit, mais j’adore les caresses faites à mes fesses par les mains divines de mes partenaires. Partenaires de tendresse, rarement genrés. Filles garçons, du moins les trois quarts du temps.
    
    Enfin juste pour vous dire que moi j’aime ça.
    
    Mais comment ne pas aimer ces mains qui passent en caresses légères dans ma fine chevelure de fesse, qui s’égarent en fond de craque dans le moite le profond le vrai velu vêtu, lui, de poils longs et frisés. Un doigt effleurant mon cul, deux autres en visite protocolaire à ma vulve palpitante et trempée. Le bonheur absolu.
    
    En plus je vais vous dire mais mes fesses et leur fine toison sont attraction qui attire les foules. Vous n’imaginez pas le nombre inouï d’impétrants qui s’intéressent à mon cul, le veulent voir toucher admirer et surtout, bonheur pour ...
    ... moi, en finalité l’enfiler.
    
    D’un doigt mouillé timide, majeur, ou mieux d’une bite dure fine longue étroite mais déterminée.
    
    Il est vrai que, pour visite de la porte étroite, la modestie est souvent préférable. Parfois à l’écriveur au narrateur prend l’envie de lier l’histoire qu’il vient d’écrire à un vécu personnel sympathique.
    
    Relier le roman aux bribes de réalité qui l’ont plus ou moins un peu suggéré.
    
    Souvent c’est le contraire qui se produit et c’est le roman, l’histoire inventée, qui viennent faire surgir du lointain passé l’aventure la rencontre oubliée. Et le sourire vient à l’auteur à revivre un peu sa jeunesse son passé, ses amours oubliées.
    
    De cette histoire que vous venez de lire me sont revenus en mémoire, parfaitement précis, les éléments du réel vécu qui l’ont inspirée.
    
    Je m’en vais vous les conter, même si c’est un peu impudique, un peu indiscret. Vous allez voir, c’est intéressant de voir comment le vécu est transformé par la Muse du conteur en roman parfaitement anonyme.
    
    Paris 1972, début d’été, études terminées en vague recherche d’un boulot. Un peu en vacances, encore un peu étudiant avec ma piaule au sixième sans ascenseur ni douche, WC sur le palier, mangeant midi et soir au resto U, heureux de mon diplôme et des promenades pédestres à travers ce Paris éblouissant le provincial Petit Chose que j’étais.
    
    J’avais préféré rester l’été à la capitale plutôt que de rentrer chez moi.
    
    Un midi, au resto U Bullier à Port Royal je vois un ...
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