La petite chienne de Maîtresse P. 16
Datte: 23/01/2025,
Catégories:
Transexuels
Auteur: byGinaputana, Source: Literotica
... l'entendant glousser de plaisir, toujours en me tenant avec la laisse et souvent en m'abreuvant de mots crus sur ma situation du moment, esclave en train de sucer les pieds de sa divine Maîtresse.
Je passais aussi chaque jour un moment au donjon, pour parfaire mon dressage bdsm, apprendre tous les secretes et toutes les subtilités de ces activités, en tant qu'esclave, sodomisée, attachée, cravachée lorsque Maîtresse l'estimait nécessaire, placée dans des appareils de torture, humiliée, obligée de m'adonner à des jeux dégradants. Les fois où elle s'était un peu trop acharnée physiquement sur mon corps et qu'elle voyait des larmes couler, elle venait ensuite me détacher et m'emmener sur le lit en latex pour me cajoler, me serrer, me consoler et me dire que je suis une bonne fille, une parfaite esclave, m'embrasser délicatement certaines parties de mon corps, me dire encore qu'elle est très fière de moi et de ce que je suis capable d'endurer, qu'elle reconnaît adorer me punir, car ça l'excite terriblement, mais aussi qu'elle a besoin de faire ça car c'est nécessaire à mon dressage, qu'elle est obligée et qu'elle ne le fait que pour mon bien. Du reste à ce jour je n'ai encore jamais dit le safe word, le mot de sécurité, ayant toujours réussi à supporter les traitements. Maîtresse m'apprenait aussi à devenir une jouisseuse anale, en me faisant découvrir l'orgasme prostatique.
-Ce sera pour quand je t'aurais définitivement transformée et fait de toi la reine des salopes. ...
... Elle restait quand même mystérieuse avec ses petites phrases.
Je continuais aussi à poursuivre mon endoctrinement, mon formatage mental de sissy, en m'imprégant tous les jours le cerveau d'images de sissy hypno et en m'abreuvant de vidéos pornos de sissies esclaves, qui avait comme effet de me conditionner à normaliser complètement ces activités dans ma tête et à me démontrer que la vie « normale » c'était de vivre ainsi, par le sexe et pour le sexe, saturée de sperme et strictement rien d'autre. De voir toutes ces belles sissy avaler avec bonheur de telles quantités de bites et se faire littéralement arroser de sperme qu'elle avalent toujours, cela me donnait de plus en plus envie de sucer des bites, je fantasmais de me faire inonder la bouche par des litres de sperme ou d'en avoir dans ma chatte, sous la direction de Maîtresse, mais pour le moment je ne faisait qu'avaler des images et être familiarisée avec le BDSM par Maîtresse.
Malgré cette envie machinale de bites et de sperme, due à mon reconditionnement mental, encore une fois je ne me sentais absolument pas gay. Je continuais à baiser Maîtresse comme toujours, avec bonheur et sans jamais défaillir. Ce qui m'excitait le plus c'était de me sentir femelle jusqu'au bout des ongles avec l'envie viscérale de me faire violer, inséminer, humilier, abuser, utilisée comme un vrai objet sexuel, comme de la pure marchandise à baise, chaque jour, dans le seul but de voir des mecs jouir en moi et y déposer leur production. Mais ...