1. Un tramway nommé désir


    Datte: 22/01/2025, Catégories: fhhh, candaul, bus, fsoumise, humilié(e), cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, ffontaine, Masturbation nopéné, sm, dominatio, Auteur: Juliette G, Source: Revebebe

    Valentine, bras relevés sur l’oreiller, se laissait doucement emporter par le désir. Thomas avait cessé de l’embrasser, lui murmurant à l’oreille qu’il avait très envie de lui donner du plaisir. Les baisers de son amant l’avaient éveillée en la faisant sourire. Ses tétons, dans l’attente d’être cajolés, s’étaient durcis aux tout premiers effleurements. La belle avait tout d’abord senti une bouche, puis des dents agacer doucement les bourgeons dressés de sa poitrine. Maintenant, les pointes de ses seins roulaient entre les doigts délicats de son amant. Le ventre de la jeune femme avait été embrassé, léché et tendrement mordillé. La brune soupira longuement, quand le menton mal rasé de son partenaire glissa sur son pubis nu et doux. Elle avait l’impression que ce petit jeu durait depuis des heures. Chaque geste, chaque baiser, chaque attouchement étaient empreints d’une lenteur extrême. L’homme prenait tout son temps, jouant avec son corps avec une grande patience. Elle se sentait baignée de douceur. Tout n’était que délicatesse, même quand la langue masculine passa sur son clitoris, le plaisir montant lui fermant ses immenses yeux gris. La caresse longea sa fente avec une lenteur qui devenait presque agaçante. Enfin, la lécheuse se fit plus dure, et pénétra son sexe. Un bref instant, l’amante se concentra sur son plaisir naissant, mais très vite son partenaire abandonna sa caresse. Les pointes de ses seins, délicatement pincées, demandaient à un peu plus d’ardeur. Son petit ...
    ... bouton de plaisir était sorti de son capuchon, et n’attendait plus qu’une attention soutenue. Sa fente pleurait d’être abandonnée. La jeune femme bougea lentement. Ses jambes s’écartèrent largement. Elle savait que le petit jeu du mâle deviendrait vite une torture, si elle ne cédait pas. C’est elle qui devait demander.
    
    Depuis qu’elle avait rencontré Thomas, l’amoureuse connaissait le plaisir, comme les orgasmes. Puis, Domino était née, sa face cachée, sa face sombre. La jeune femme aimait la tendresse et la douceur. Son amant s’assurait que leurs amours satisfaisaient sa maîtresse. Pourtant, il s’ingéniait à ce que ce soit sa compagne qui demande à être un peu plus bousculée et elle craquait très souvent. La douce Valentine finissait par prononcer des mots, qui la faisaient rougir, et demandait des choses qui lui faisaient honte. Ce n’était pourtant que des comportements innocents, en comparaison de ce qu’aurait dit ou fait Domino. Au début de leurs rapports, la brune se complaisait dans la douceur et dans la tendresse, puis s’aperçut que plus de hardiesse lui apporterait certainement plus de plaisir. Longtemps, n’osant s’en ouvrir à l’homme, la jeune femme finit pourtant par se secouer, et demanda certaines choses. De plus en plus souvent, prenant l’initiative, l’amante parlait de ses envies sans fausse pudeur et depuis quelque temps, craquait complètement. Douceur et tendresse devenaient des préliminaires, que sa lascivité naturelle adorait, mais son corps était devenu ...
«1234...14»