Royal Opera
Datte: 22/01/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Lisa-Al, Source: Hds
Encore moi Lisa, moi et mes problèmes pouvez vous dire. Je confesse que dans ma tête rien n’est clair. Je suis comme ça depuis ce mariage raté, vous pouvez croire qu’une fois divorcée je serais repartie de zéro, pour construire une vraie vie. Hélas non, mon ex à détruit une partie de ce à quoi j’aspirais et je croyais. En tentant d’analyser les choses j’en arrive à la conclusion que je suis devenue une sorte de pute gratuite, une obsédée du sexe jamais satisfaite, tout çà à cause d’un mec qui n’a pas été foutu de me donner le minimum de tendresse et de sexe qu’on à le droit d’espérer. Peut être que je suis particulièrement vorace c’est possible, peut être que mes fantasmes s’imposent à moi, je veux bien le croire. Mais je refuse d’être comme le disait mon ex, une nymphomane. Je suis peut être doté d’une bonne dose de perversité, j’aimes des choses hors norme, je me suis aventurée en dehors des chemins habituels et bien pensants. Si j’ai trompé mon mari, j’estime que c’est lui qui a brisé le mariage par son attitude et y a mis un point final en me frappant. Je me sens coupable que d’avoir trompé car j’étais totalement insatisfaite.
Je vous ai parlé de mon voisin, sans doute le meilleur amant que j’ai eu et le premier. Hélas nous avons du cesser car sa femme avait des doutes, non pas sur moi mais elle savait que son mari la trompait, habitant à deux pas il n’y avait que peu de chance que nous puissions éviter de nous faire prendre. La mort dans l’âme nous avons décidé d’un ...
... commun accord de cesser de nous voir. Pour Jean-Pierre et pour moi ce fut un déchirement. Il était peut être temps car nous avions petit à petit cimenté des sentiments sincères. Ni lui ni moi (a cet époque) ne voulait briser son mariage nous avons été raisonnables.
Libre comme l'air, mes études se terminaient et j’obtenais mon master en management. Mon gentil papa avait usé de quelques relations pour me trouver un poste. Ce poste dans cette société où j’ai progressé pour être désormais directrice RH. Signifiait aussi une plus grande autonomie, je gagnais presque aussi bien ma vie que mon mari. Cela me donnait plus de liberté car je devais me déplacer dans les agences et filiales. La situation du couple n’avait pas évolué d’un iota. Je me lançais dans les folles recherches de sensuelles complicités.
Pour une femme je pense que l’embarras du choix est là régle, enfin quand on à en face des vrais mecs qui ne font pas que fantasmer. A plusieurs reprises, j’étais prête à succomber et mon contact me lâchait. Le pire de tout, me donner rendez-vous dans un café et ne voir personne arriver, à moins que je ne sois trop moche pour lui, ce dont immodestement je doute quand même.
Il y a l’inverse, je posais un lapin à mon contact. En fait, plusieurs fois je suis arrivée sur le lieu de rendez-vous et voyant mon contact, j'ai décidé de surseoir à mon exécution. Parfois il y a des abrutis qui vous mentent et promettent un physique et on se retrouve en face d’un “monstre”. Je ne suis ...