Haro sur le soutif !
Datte: 20/01/2025,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
grossexe,
grosseins,
lunettes,
plage,
hotel,
douche,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
extraconj,
Auteur: Jacquou, Source: Revebebe
... considérer comme une maîtresse ou comme son habituelle subordonnée. Elle pense à Nicole et sa liaison cachée avec le patron. Une question lui brûle les lèvres et elle finit par l’exprimer :
— Est-ce que tu as couché avec Martine lorsqu’elle t’a accompagné ?
— Je ne vais pas te mentir. Oui, mais j’ai eu moins de plaisir qu’avec toi.
Anne-Marie encaisse l’information. Elle est donc elle aussi passée à la casserole, comme les autres. Mais ce qu’elle ne sait pas, c’est que Kléber est sincère. Celui-ci repense aux ébats avec l’athlétique assistante de direction, ayant pris soin de ne pas entrer en concurrence avec son grand patron pour Nicole, bien que celle-ci lui ait fait souvent des avances. Martine est une vraie salope qui lui a bouffé les couilles, doigté et léché le trou du cul avant de réclamer le même traitement préalable à la sodomie. Mais outre qu’elle n’est pas aussi sexy, elle n’a pas manifesté la formidable énergie d’Anne-Marie dans la baise. Jamais une femme n’avait pareillement remué son cul sous sa bite. Jamais il n’avait ressenti un tel enthousiasme sous et sur lui. Un coup pareil, on n’en rencontre pas tous les jours, même pour un serial lover comme lui. Il va lui faire découvrir le sexe dans toute sa crudité et elle n’aura plus rien à envier à ses collègues. Tel est son état d’esprit au moment où il la laisse devant son domicile. En espérant ne plus retrouver la femme du bureau, sage et conventionnelle.
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Anne-Marie n’a évidemment pas remis ...
... de soutien-gorge au boulot. Mais son changement personnel ne s’est pas arrêté là. Elle se maquille tous les jours, a fait couper ses cheveux au carré, remplacé ses robes longues par des pantalons ajustés ou des mini-jupes, bref, est devenue la plus jolie fille du groupe des assistantes. Les collègues hommes rêvent tous de la sauter, mais elle les ignore superbement, affectant la fidélité conjugale. Il est vrai que Damien, son mari, n’a pas été insensible à cette mutation, qu’il ne peut qu’attribuer à ce déplacement d’où il était exclu. Il se pose quelques questions, mais répond de la meilleure manière qui soit : en honorant plus souvent son épouse dans le lit conjugal. Mais Anne-Marie, désormais, en veut plus, beaucoup plus. Kléber a réveillé sa libido et à sa manière de le regarder pendant les heures de travail, il comprend qu’elle a envie de baiser. Il la baise dans son bureau une fois que les autres salariés sont partis, ou en pleine nature entre « midi et deux », s’enchantant de la trouver toujours plus réceptive, toujours plus ardente, de plus en plus volubile et même, à son enseignement, de plus en plus cochonne. Le jour où elle lui a dit « mets-la-moi jusqu’aux couilles », il a compris qu’il avait gagné la partie. Anne-Marie baise.
Mais elle a aussi un cœur d’artichaut. Kléber la fait tellement jouir qu’elle en est devenue amoureuse. Plus elle baise et plus elle fait l’amour. Elle commence à se dire que sa vie n’est peut-être plus avec Damien, mais avec Kléber. Mais ...