Être Novice accomplie
Datte: 20/01/2025,
Catégories:
ff,
fff,
fsoumise,
fdomine,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
caresses,
fouetfesse,
dominatio,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... Rien ne s’opposera, hormis une sensibilité accrue, à une éventuelle activité sexuelle qui peut d’ailleurs s’avérer très bénéfique en favorisant le drainage des hématomes. En conclusion, malgré ses quelques bobos, votre jeune servante est en parfaite santé.
— Voilà qui est très rassurant, Cher Ami, le remercia Ève. Vous connaissez le contenu de ma pharmacie. Aurais-je besoin d’autres médicaments ?
— Je vous prescris un analgésique spécifique en cas de persistance des douleurs. Cela suffira.
— Merci, c’est parfait ! Jenny et Issa peuvent donc emmener Aloïse se reposer et la soigner selon vos recommandations. Pour ma part, je vous invite, ainsi que Monsieur le Professeur, à prendre l’apéritif le temps que notre Amie et moi passions sous la douche. Détendez-vous avec mes adjointes pour patienter…
En enlaçant son invitée, Ève lui chuchota « nous ne serons pas longues, n’est-ce pas ? N’ayez crainte, j’emporte votre peignoir », et l’entraîna affectueusement. La dame ne s’était pas donné le ridicule de chercher à réajuster les tulles sur elle, mais, curieusement, le contact des corps nus ne semblait plus la gêner tandis qu’elle emboîtait le pas de son hôtesse. Celle-ci se retourna avant de sortir.
— Clémence, tu connais ton rôle. À tout à l’heure.
Ce fut tout. L’évaluation était terminée. Colette était dépitée. Elle avait vaguement imaginé que la journée finirait comme la veille, dans une ambiance conviviale et libertine. À l’évidence ce n’était pas le cas. La soirée ...
... festive était réservée à l’élite, les Converses n’y avaient pas droit, pas même la nouvelle consacrée, Clémence ne comptait pas non plus. Et quant à elle, la Novice, personne ne lui portait attention depuis longtemps. Déprimant. Douloureusement déprimant !
Poussée par la nécessité, elle osa rompre le silence et demander à Clémence la permission de parler pour la questionner timidement sur ce qu’il allait se passer ou ce qu’elle-même devait faire.
— Tu fais ce que tu veux, répondit sa tutrice. Tu peux te relever si ça te chante. Ne touche pas ta chatte, c’est tout ! Ne la regarde même pas !
Elle en brûlait, pourtant, au sens propre comme au figuré. Avec les mouvements, le poids du cadenas lui semblait plus lourd, plus insistant sur ses lèvres internes. Ces « petites » lèvres dont le qualificatif n’avait jamais été aussi peu approprié et qu’elle pensait être vraiment devenues des oreilles d’éléphant. Les voir l’aurait rassurée, les masser l’aurait peut-être soulagée de lancinements de plus en plus prégnants, la vigilance de Clémence le lui interdisait. Une pointe plus aiguë la traversa, elle ne put s’empêcher de gémir.
— J’ai mal…
— Prends-en ton parti, ce n’est pas près de s’arrêter.
— J’ai soif.
— Oublie ! Rien n’entre et rien ne sort jusqu’à demain. Pourquoi crois-tu qu’on t’ait vidée ?
— Mais si j’ai besoin ?
— Retiens-toi ! Si tu pisses, je serai obligée de te désinfecter à l’alcool. Celui que tu connais. Tu l’as utilisé sur moi hier. Tu te souviens ? Et tu ...