1. COLLECTION ANNE MA MUSE. Sur les monts du Jura. Le père Julien et le fils Jules (2/2)


    Datte: 19/01/2025, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... caresser les couilles, la bite du père Lucien dans la chatte, ai-je le temps de penser à la salope que je suis ?
    
    • Anne, il peut t’enculer, tu l’as dit que ça t’était arrivé de le faire.
    
    Il faut tourner sept fois sa langue dans sa bouche, car à tout moment ça se retourne contre vous.
    
    Sans attendre mon accord, Jules m’enlève ma sucette de la bouche, entre-temps il bande à me faire peur de me faire défoncer l’anus.
    
    Il y a quelque temps déjà, voyons presque trois ans en décembre dans ma série, « Joyeux Noël » ou Noël est mon neveu que je dépucelle.
    
    Avec Pierre, Noël et lui ont fini par me prendre en double pénétration.
    
    C’est encore le cas cette fois-ci, je suis prise en sandwich par les deux fermiers qui semblent bien s’entendre comme s’ils avaient l’habitude de sexer des femmes ensemble.
    
    La queue de Jules me défonce, mais rapidement je perds la tête au point que ma tête au-dessus de la tête du père, sans m’en rendre compte, je prends la bouche de Lucien.
    
    C’est dégueu, ça sent le tabac froid, mais dans ces moments de délire où ces deux verges glissent en moi, je perds toute notion, du bien ou du mal, du bon ou du mauvais.
    
    Seule la boule irradiant tout mon être m’importe.
    
    Combien de temps me fais-je défoncer, je l’ignore, ce que je sais, c’est qu’à un moment une verge flasque se présente à ma bouche.
    
    Cette verge, je la connais, hier au soir j’ai eu du mal à la faire bander.
    
    Pierre est là, fidèle à lui-même il sait qu’il vit avec une salope ...
    ... et sait bien en profiter.
    
    Par rapport à hier, est-ce le fait qu’il me voit emmanché par ces deux verges, mais rapidement il bande.
    
    Trois d’un coup, qui eut pu dire lorsque nous sommes venues nous retirer pour une grande partie de l’année que je deviendrais la salope des trois seuls hommes habitant dans un rayon de deux kilomètres autour de notre chalet.
    
    J’ai dit aimer le sperme, je suis servie, l’ordre important peu.
    
    Chatte, anus et bouche reçoivent les gicler que grâce à moi les trois verges expulsent.
    
    Je sens bien que dans ma bouche, la quantité de sperme est bien moindre que dans mon cul, Pierre a son âge et ses testicules mettent du temps à se régenéter.
    
    Je sens mon anus libéré et Jules revenir sur le plancher des vaches.
    
    Heureusement, qu’avec Pierre, ils me sortent de la bite du père Julien, car je suis dans l’incapacité de me mouvoir seule.
    
    Je me retrouve assise à la table entourée des trois hommes, seul Pierre étant habillé bien qu’à y regarder, sa queue sort de son Tergal de nouveau au repos.
    
    • Jules met nous quatre verres et amène le rouge, ça va nous revigorer, cette belle garce elle m’a vanné.
    
    Pierre, tu laisses ta femme aux mains de deux salopards comme nous, t’es pas jaloux.
    
    • Eh ! chacun sa vie, quand on la partage avec une femme qui aime le sexe et qu’on est vieillissant, il faut savoir vivre vieux en s’économisant et en se faisant aider.
    
    • Sert, un jus de fruits à Anne, elle l’a bien mérité.
    
    • La petite Anne, elle a bien ...