De Maître à Esclave Fin
Datte: 19/01/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... même temps à des gorges profondes où je cru mourir les premières fois. Le mouvement était lent, mais très profond, près de 15 cm de débattement, venant remplir toute ma gorge, avant de se retirer et me permettre de respirer. Quelques jours suffirent pour que je m'habitue et que je sois capable de recevoir n'importe quelle bite au fond de la gorge.
Isabelle avait commencé par cela, et vouait, pour une raison que je n'ai jamais connue, un véritable culte à la torture de mes couilles. Qu'elles n'aient pas éclaté sous la pression des étaux qu'elle serrait de façon démesurée était surprenant, ou simplement en marchant dessus avec ses pieds chaussés ou nus. La découverte des aiguilles, puis de l'électricité à l'intérieur des couilles la ravissait et elle m'avoua dans un orgasme que si elle ne me les coupait pas, c'était pour me faire souffrir indéfiniment avec. J'avais l'impression de porter entre mes cuisses une source de souffrance ininterrompue qui jamais ne se tarissait.
Ces deux mois ne provoquent en moi que crise de panique et fébrilité. Rien que d'y penser et je tremble de tout mon corps. Isabelle pour sa part vécu cette période plus comme une contrainte nécessaire, même si elle y prit beaucoup de plaisirs, mais surtout découvrit énormément de choses et d'émotions sur elle et son pouvoir sur les autres. Elle n'était certes pas dupe de la 'soumission' des hommes qu'elle utilisait, qui étaient surtout motivés par sa beauté, son corps et les faveurs qu'elle leur ...
... accordait.
C'était quelque chose de particulièrement pervers de les voir torturer son ancien Maître, et de les récompenser en se faisant baiser sauvagement alors qu'il souffrait terriblement à côté, ignorant le plus souvent le plaisir qu'elle prenait et donnait. Isabelle était terriblement excitée dès qu'elle m'entendait gémir dans le bâillon, un puissant aphrodisiaque dont elle ne se passait plus. Mais son plus grand plaisir était le blog, qui devenait très fréquenté, elle avait même du ouvrir une section forum et organisait deux fois par semaines des chats.
Si les soumis furent les premiers à les fréquenter, les couples gynarchiques se firent plus nombreux, certaines Maîtresses fascinées et intéressées par les traitements qu'elle infligeait et curieuse du résultat et du dressage qui s'en suivrait. Il n'y avait finalement pas tant de candidatures, les tourments subis effrayaient la plupart des candidats. Des Maîtres se positionnaient en vain vis-à-vis d'elle, tellement remplis de leur arrogance et ne comprenant pas que plus jamais elle ne s'abandonnerait, ni même traiterait un homme sur un pied d'égalité. Et au fond, si sa rage et sa violence se calmaient progressivement, elle en oubliait parfois le point de départ, son désir de me posséder était grandissant et son affection tout autant.
J'étais rentré dans un profond syndrome de Stockholm et était en pleine dévotion, Isabelle s'était fortement attachée et prenait toutes mes souffrances comme des demandes de pardon de ma ...