1. Ma tante et mes cousines se dévouent corps et âme sur mon corps d’handicapé. 2


    Datte: 19/01/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    ... pas si difficile que ça. Maintenant il faut que tu surmontes tes appréhensions et essaies par toi-même.
    
    Je suis un peu indécise mais qu'est-ce que je risque ? Je fais ressortir la totalité de la teub de Jocelyn d'entre mes fesses, saisis la bête et la présente à l'entrée de mon intimité. J’essaie plusieurs fois de faire entrer cette grosse prune entre mes lèvres intimes mais n'y parviens pas. Au bout de deux centimètres, je me ressers tellement que même un crayon ne pourrait s'y introduire.
    
    Je suis triste mais je veux vaincre ce handicap.
    
    Pendant les jours suivants, je m'arrange pour être seule avec Jocelyn et me remets à l'ouvrage. J’arrive enfin après plus d'une semaine d'efforts et d’innombrables essais à réussir à introduire le gland de Jocelyn dans ma chatte. Avec quelques jours de persévérance supplémentaires, j'arrive à faire buter l'extrémité de son sexe sur mon hymen toujours intact. Ce contact fait revenir aussitôt mes mauvaises pensées et mes muscles se resserrent inexorablement sur l'intrus l'empêchant de s'introduire plus loin.
    
    Cela fait maintenant plus de dix fois que j'arrive à ce stade mais ça ne peut plus durer ainsi. Je suis de nouveau dans cette position et avec un peu de volonté, pour cette fois, je me laisse retomber de tout mon poids sur le corps de mon cousin, me pourfendant plus que de raison et perdant ainsi mon pucelage.
    
    La douleur et assez violente, il a dû me pourfendre avec la totalité de sa queue mais quand je me penche pour ...
    ... regarder son bas-ventre, je suis stupéfaite car plus de la moitié de sa verge est encore visible.
    
    Il me faut un long moment avant que je ne puisse me détendre, relâcher mes muscles intimes et continuer la progression sur son rostre. Allez ma fille, encore un peu de courage... J’arrive enfin après des allers-retours de plus en plus longs à absorber la quasi-totalité de son organe qui bute enfin au plus profond de moi. Cela déclenche en moi un réflexe presque automatique qui me fait resserrer les muscles de mon vagin avec une force incroyable, emprisonnant comme dans un étau son chibre.
    
    Je suis comme soudée à lui, ne pouvant plus bouger, j’adhère à lui comme une ventouse. Je me couche sur le corps de mon cousin, écrasant ma poitrine contre la sienne. Je reste ainsi pratiquement dix minutes avant que je me détende suffisamment et pouvoir libérer de mon étau le phallus de mon cousin.
    
    Doucement, très doucement, je bouge mon bassin, ressentant lentement le plaisir monter. Je réalise enfin que je viens de dépasser mon blocage et m’active de plus en plus fort, de plus en plus vite sur le sexe de mon cousin, mais je ne peux empêcher ma gaine de régulièrement se resserrer, se contracter, broyant sans le vouloir son manche de pioche plus que de raison.
    
    Je m’interromps quand soudain je l'entends geindre. Je suis folle de joie que lui aussi vienne de passer un cap dans sa guérison. Je le regarde et je vois dans ses yeux qui pétillent que lui aussi ressent du plaisir. Une sensation ...
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