Le Dressage Commence - Histoires de Sexe

Le Dressage Commence

... mêlés.

« elle est étroite ...tu ne l'as pas travaillée par là? »

« non pas encore...un peu doigtée seulement.. »

« là aussi on va procéder de façon accélerée...allons, il est temps de commencer...descend on va te percer les mamelles.!

J'étais morte de peur, mais Amalia m'enlaça presque tendrement.

« n'ai pas peur, c'est moi qui vais le faire...j'irais doucement et tu auras droit à autant de baume anesthesiant que tu le souhaiteras.. » puis elle m'embrassa longuement..

Mon dieu, cette femme me possédait entierement...je ferai n'importe quoi pour elle..et c'est d'ailleurs ce que j'étais en train de faire...

Arrivés dans la salle de bain, Amalia me fit assoir, et prit dans la pharmacie un petit bocal contenant le baume qui je l'esperais, allait m'éviter de trop souffrir.

Son frère lui, avait amené une boite métallique contenant une pince et deux trocarts...,ainsi que deux anneaux d'or semblables à celui que je portais au nez.

La suite se passat très vite..Amalia enduit les pointes de mes seins du baume anesthesiant,avec des gestes qui étaient plus des carresses qu'autre chose, puis après avoir attendu qu'il fasse effet, elle pris la pince, et dans une succession de gestes rapides pinça mes tétons , et de l'autre main les traversa ...

... rapidement avec les trocarts.

Malgré l'absence de douleur immédiate, je me surpris à sursauter.

« bravo ma soeur...regarde comme elle est magnifique avec ses mamelles ornées..je pense que nous sommes sur la bonne voie pour remporter ce concours »

Le mirroir me renvoyait l'image de ma transformation progressive en femelle soumise..animalisée...et je commençais à accepter cette idée.

« je pense que c'est assez pour aujourd'hui...demain nous commencerons le dressage proprement dit... »

Je passais le reste de la journée à solliciter Amalia pour avoir du beaume pour me soulager, et celle ci à me demander de lui procurer du plaisir avant de m'en donner...ma bouche ne quittait presque plus son sexe crépu que j'aimais tant sentir sous ma langue...alors qu'elle me négligeait totalement, me frustrant de ses caresses.

Mais je sentais de plus en plus l'interet de son frère envers moi...ses yeux sur moi. ses mains qui me frolaient..

Le soir après le repas, je surpris leur conversation...il était question de marquage, entre autre, mais j'entendis aussi Amalia , rieuse, dire à son frère, « je vois bien qu'elle t'interesse, et pas seulment pour le dressage...tu as mon accord pour la saillir autant que tu voudras »

Me « saillir »...le mot me plut...