Le séjour à la mer
Datte: 18/01/2025,
Catégories:
fh,
ffh,
hplusag,
hagé,
vacances,
plage,
douche,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
rencontre,
Auteur: Rincop, Source: Revebebe
... partons dans de longs câlins, changeons de positions pour permettre à l’autre d’accéder à toutes nos parties du corps.
— Tu sais, si tu n’y arrives pas ce n’est pas grave, il n’y a pas que ça.
— Je sais, merci, Ophélie.
Pour ne pas perdre les bonnes habitudes, je commence un cunnilingus, et je sens peu à peu mon sexe gonfler. Ophélie s’en est rendu compte(Ah, le sixième sens féminin !). Elle se retourne, s’en saisit et commence à doucement me masturber, jusqu’à obtenir une belle érection. Elle se positionne alors en levrette et me dit :
— Viens !
Je m’introduis alors doucement en elle, mais c’est elle qui accélère.
— Mets-moi tes doigts !
J’insère alors un puis deux puis trois doigts dans son anus. Au moment où elle sent que je vais venir, elle se penche brusquement en avant, et ma verge quitte son vagin. Je suis bien frustré !
— J’ai envie que tu me sodomises, je ne l’ai encore jamais fait, mais avec toi j’ai envie.
— Ça va être difficile, nous n’avons pas de lubrifiant
— J’en ai parce que des fois avec Sidonie, enfin, tu vois…
Elle se lève et attrape dans un sac un tube de lubrifiant. Elle se repositionne en levrette.
— Occupe-toi de moi !
J’étale le lubrifiant sur l’entrée de son anus, sur ma verge, dans l’entrée avec mes doigts. Je me positionne et commence à appuyer un peu. Elle écarte ses fesses avec les mains pour faciliter le passage, mais c’est bien difficile, elle est vraiment étroite. Peu à peu, le bout de mon gland se fraye un ...
... chemin puis mon gland en entier.
— Le plus dur est fait, dis-je.
— Oui, enfonce-toi en moi.
Je ne me le fais pas répéter et peu à peu parviens à insérer mes dix-huit centimètres. Ophélie entame alors de lents va-et-vient et accélère. À la fin, je la laboure carrément, et lorsque je me vide tout au fond d’elle, elle pousse un grand cri et s’affale sur le lit, prise elle aussi par un puissant orgasme. Nous nous câlinons encore un grand moment avant de tomber dans un profond sommeil.
Au réveil, Ophélie me dit :
— J’ai mal à l’arrière-train, nous y sommes allés un peu fort.
— Excuse-moi, ma chérie.
— Non, c’est moi qui ai voulu.
Nous nous embrassons alors et nous levons. Nous constatons qu’il est déjà neuf heures et demie ! L’ambiance est maussade pour ne pas dire triste. Déjeuner à 11 h 30, puis départ vers 12 h 30, elles ont vraiment peur de rater le train, mais elles reprennent le travail dès demain.
Nous arrivons bien en avance, alors pour tuer le temps, je leur propose de leur montrer le château et la cathédrale qui sont juste à côté.
— Nous n’avons même pas visité Nantes, dis-je.
— Ce sera l’occasion d’un autre voyage, répond Sidonie.
L’heure du départ arrive trop tôt. Sur le quai, dans l’attente de l’arrivée du train, nous ne cessons de nous embrasser, sous le regard médusé des autres passagers. Je les aide à charger leurs vélos et bagages dans le « ouigo ». Lorsque le train quitte la gare, les larmes me montent aux yeux.« La fin d’un beau rêve », ...