Marie et Moi
Datte: 18/01/2025,
Catégories:
Première fois
Auteur: VieuxMachin, Source: Hds
... n'y pouvais rien, ce moment me paraissait trop important pour le gâcher. Mon inconscient savait sans doute que ce jouait une partie importante, cruciale même de ma vie. “Ô temps suspend ton vol” écrivait Lamartine. Nous étions dans un instant comparable. Cet instant semblait s’étirer à l’infini un instant durant lequel le prochain geste serait crucial, un instant de grâce. Je suis convaincu que si j’avais fait un autre geste la magie serait retombée. Je tirais légèrement sa main, approchant Marie de moi, je me penchais en avant mon regard dans le sien. Elle se laissait aller, approchant doucement son visage du mien. Ses yeux brillaient de mille feux, ses lèvres humectées par sa langue rose, brillaient. Doucement je continuais le mouvement nous étions maintenant presque nez à nez. elle me sourit, mes mains sur ses joues je l’attire, nos lèvres se touchent, ma langue force a peine ses lèvres qui accueille l’intruse, sa langue se glisse autour de la mienne puis explore ma bouche. Le baiser devient profond, les mains de Marie glissent dans ma chemise, ses doigts caressent ma peau avec une douceur infinie. Un petit doigt effleure mon téton. Une décharge de plaisir, je suis extrêmement sensible des bouts de seins. Instantanément, l’érection que je ressentais devient impérieuse. Depuis Marie a bien compris que me toucher les tétons c’est automatiquement me faire bander. Mes mains ont glissé et caressent ses seins, je sens les tétons tendus sous le fin tissu, elle frémit. Le baiser ...
... dure, dure elle et moi on aimerait que cela reste ainsi. Mais à moins de mourir asphyxiés nous devons rompre le contact à regret. Nous nous regardons, je vois une larme qui roule le long de sa joue. Je tends la main paume contre sa joue, j’essuie la perle brillante du pouce. Marie incline sa tête dans la paume de ma main.
Qu’y a- t-il ? Marie?
Oh rien, c’est trop bien, trop bien tu est génial.
Elle se jette dans mes bras assise à califourchon sur mes genoux. Elle m’enlace, je l’enlace. Je pense que nous avons brisé la glace.
Si douce soit la position, elle est à califourchon sur mes genoux, m’embrassant voluptueusement. Nous avions envie de bien plus tous les deux. Je me levais, Marie , nouait ses jambes musclées autour de ma taille, mes mains sous ses fesses et toujours nos bouches se livrant à une bataille de baisers, je la menais vers la chambre. J’avais besoin d’un lit pour parachever ce moment délicieux. Je bandais comme un dingue. Près du lit, Marie sauta prestement sur ses pieds, me regardant dans les yeux elle souriait et fit glisser l’épaule droite de sa robe, qui glissa sur son flanc, découvrant un sein magnifique rond et ferme, ses larges aréoles noires et ce gros téton trônant au centre appelait ma bouche. L’autre épaule glissa ) son tour la robe tombait à ses pieds me la dévoilant dans sa superbe nudité. Magnifique, une beauté qui m’a vraiment sauté au visage. Cette poitrine magnifique, ses hanches marquées et larges, une taille harmonieuse, un petit ...