Marie et Moi
Datte: 18/01/2025,
Catégories:
Première fois
Auteur: VieuxMachin, Source: Hds
... car la gamine à un sexe de petite taille.
Les ongles de Marie par moment s’incrustent dans mes bras. Ma queue massée par ce sexe vorace, est toujours tendue à l’extrême. Je sens mes couilles se serrer, remonter à la base de mon sexe, et le fourmillement annonciateur de l’orgasme se précise. C’est bien, tôt, trop rapide, mais je suis vraiment en rut si je puis dire. Je n’y peut plus grand chose. Marie gémit et accompagne mes mouvements , mettant son bassin au diapason du mien. Les baisers pleuvent sur sa bouche, ses seins, je tête ses gros tétons. Soudain je ne tiens plus, je sens monter l’orage dans ma queue. Je retiens autant que possible mon plaisir, mais avec brutalité même je plate mon sexe au fond du sien, tandis que je gicle abondamment, 6 ou 7 grosses giclées suivies de plus modestes, je me vide totalement en elle. Dans le regard de Marie je distingue une lueur de désarroi, elle aurait aimé que cela dure bien plus. Je continue mon va et viens, je connais bien ma nature. Quelques instant mon sexe à légérement dégonflé, mais mes mouvements lui redonnent sa pleine consistance en peu de temps. Je patauge litérallement dans son sexe. Non seulement elle est ruisselante mais mon sperme abondant fait un lit douillet à ma queue. Marie sourit, elle comprend que ce n’est pas terminé. Elle goutte la caresse de mon pouce sur son clito, j’accentue même mes rotations sur son joyau. Ma queue maintenant se couvre d’une sorte de crème un peu comme si nous avions joué avec la bombe de ...
... chantilly. Le mélange entre son nectar et mon sperme, oh ne vous y trompez pas j’ai déjà goûté ce mélange et j’adore, même si le sperme n’est pas le mien d’ailleurs.
Marie, halète, elle est en train de gravir de nouveau la pente vers son plaisir. Les mouvements de son sexe sont de plus en plus désordonnés, erratiques, de l’alternance de pression puis relachement de ses muscles, c’est une sucession de soubresauts, parfois elle me serre tellement qu’elle me ferait presque mal, sa tête dodeline à nouveau tandis que la bouche ouverte elle cries cette fois vraiment fort. Le plaisir est en train de la submerger, la sueur ruisselle sur son visage, entre ses seins. Je me dis d’un coup que j’avais eu assez peu souvent une partenaire aussi vivante que Marie, je sens partout les endroits où ses ongles se sont enfoncés dans ma peau. J’aurais adoré qu’elle m'attrape le bout des seins, j’adore ça.mais nous ne sommes qu’aux prémices de cette relation nous devons apprendre à nous connaître. Je pense qu’en ces instants, je tombais follement amoureux d’elle, inexplicable car j’ai tellement fait l’amour a des femmes sans que je ne ressente autre chose qu’un grand plaisir. Là c’est différent ne demandez pas pourquoi, c’est ainsi. Comme disait le poète parce que c'était elle, parce que c’était moi. depuis 34 ans maintenant nous sommes toujours aussi amoureux, bien sur nos 10 ans de différence sont toujours là mais peu importe. Je regrette qu’elle soit maintenant si frileuse en ce qui concerne ...