1. Vive l'entraide !


    Datte: 23/07/2019, Catégories: fhh, Oral pénétratio, double, fsodo, jouet, québec, couple+h, Auteur: Nanuk, Source: Revebebe

    ... et qu’il était sans doute inconvenant de laisser un invité dans cet état. Colette, qui me fixait déjà les yeux, fixa mon entrejambe, et sans dire un mot se dégagea de Sébastien. Elle se releva et me demanda de me mettre debout, ce que je fis en moins de deux. Elle dégrafa mon ceinturon, ouvrit mon jean et libéra mon sexe déjà érigé. Comme j’étais chaussé de bottes de travail à plusieurs œillets, il était impossible de me dégager de mon pantalon rapidement. Colette baissa mon jean et mon sous-vêtement jusqu’aux genoux et reprit mon sexe dans sa main. Elle le caressa un peu et fut à même de constater que mon érection était à son comble et que la pointe de mon pénis était déjà couverte de glaire lubrifiante. Comme avec Sébastien, elle me dit un simple « viens » en me fixant dans les yeux et en me tirant littéralement vers elle.
    
    Elle reprit sa position penchée sur le comptoir, et Sébastien écarta le peignoir dont la ceinture était maintenant totalement détachée pour m’offrir le derrière de sa femme. Avec une telle invitation, je ne pouvais plus résister. Comme je m’apprêtais à pénétrer Colette, celle-ci se redressa d’un coup. J’ai bien cru alors que rien n’irait plus, mais il se passa que cette dernière enleva complètement son peignoir pour m’offrir la vue de son corps nu tout entier, roulant le vêtement en boule pour s’en faire une sorte d’oreiller.
    
    J’étais ravi de la vue du corps complètement nu de Colette, mais ce brusque mouvement m’avait un peu décontenancé. Je me ...
    ... plaçai derrière Colette pour reprendre mon mouvement de pénétration, alors que Sébastien qui était à nos côtés s’était placé de façon à caresser le sexe de sa femme de la main gauche. Je sentais la moiteur et la chaleur de la chatte de Colette, et au fur et à mesure de ma lente progression, Sébastien plaça son autre main pour cambrer au mieux les reins de sa femme. L’ayant pénétrée à mon maximum, je sentis combien Colette avait une capacité d’aspirer mon sexe avec sa musculature pelvienne. Je pris ses hanches entre mes mains et lui écartai les fesses le plus que je pouvais par la même occasion, tandis qu’elle reprit peu à peu la cadence qu’elle avait plus tôt avec son mari.
    
    Colette maîtrisait parfaitement les mouvements de cambrure et de succion de son sexe sur le mien. C’était divin, j’en avais la tête qui tournait, et ses gémissements croissants m’amenaient au comble de l’excitation. Lorsqu’elle émit un râle profond dans une saccade désordonnée, je ne sus me retenir plus longtemps, et déversai en elle une longue giclée de sperme, d’autant plus longue que je n’avais pas eu de sexe depuis une semaine. Je restai en elle le plus longtemps que je pus, savourant l’instant jusqu’au dernier moment. Les jambes flageolantes, je me retirai et repris ma place sur le tabouret que j’avais occupé, le jean encore aux genoux, le sexe encore humide. Colette aussi montrait des signes qu’elle avait les jambes molles et la tension de son corps diminuait. Je crois bien qu’elle se serait redressée ...
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