Professeures Bizutées - 1/8
Datte: 15/01/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica
... nouvelles depuis leur rupture qui datait de presque six mois. Numéro inconnu. Elle se rendit à son appartement mais trouva porte close. Un voisin qu'elle avait rencontré à l'époque lui indiqua que Kevin était parti depuis longtemps déjà. Elle n'aurait aucune aide de ce côté.
Elle se résolut à aller déposer une plainte. Elle ne pouvait pas laisser cette situation de chantage se développer. Elle se rendit à pied au commissariat. Mais au moment d'y entrer, elle reçut un SMS du maître-chanteur, toujours anonyme :
* Mais où vas-tu, Julie? Prends garde!
* Nous n'aimons pas beaucoup la police, tu t'en doutes.
* Avant de nous dénoncer, prends contact avec ta petite sœur, Nathalie.
* Signé : Discipline-Team
Elle devait comprendre avant d'ouvrir la porte du commissariat.
- Allo, Nathalie... C'est moi, comment vas-tu?
- Ah, tu tombes bien toi! Depuis quand tu t'amuses à t'exhiber dans ta voiture? Et en plus tu envoies tes photos à tes contacts! Arrête tes bêtises, tu vas finir par avoir des ennuis. Tu te rends comptes de ce qui se passerait si tes élèves ou nos parents découvraient tes photos? Franchement, tu es inconsciente!
- Mais... je... je ne savais pas... Qui t'a envoyé les photos?
- Je n'en sais rien, répondit Nathalie. En plus de la photo, c'était écrit : « Julie, la pute se fait baiser ». Il faut que tu arrêtes ça tout de suite! J'espère pour toi que personne d'autre n'a reçu ce SMS.
- J'espère aussi. A revoir.
Désemparée, elle n'entra pas ...
... pour déposer la plainte.
Elle ne reçut aucun autre message.
LE DEUXIEME JOUR
/JULIE
Elle s'était apprêtée conformément aux ordres reçus, c'est-à-dire sans mettre de soutien-gorge, sans veste pendant le cours. Le ou les maîtres-chanteurs s'étaient montrés déterminés en envoyant la photo à sa sœur. Il fallait qu'elle gagne du temps jusqu'à ce qu'elle trouve une solution.
Bien qu'elle portait un pull d'hiver large et épais, elle sentit ses joues rougir lorsqu'elle ôta son manteau en salle des professeurs. Pendant les cours, ce fut plus pénible car elle devinait les regards insistants et les sourires moqueurs des garçons de la classe. D'ailleurs, tous les hommes, qu'ils fussent élèves ou professeurs, avaient noté l'absence de soutien-gorge.
La journée se passa sans incident.
LES JOURS SUIVANTS
/JULIE
Rien de désagréable n'arriva. Elle continua à respecter les règles édictées en ne portant pas de soutien-gorge, en laissant son portable sur le bureau. Elle était très entourée au sein du professorat masculin car tous appréciaient ses nouvelles tenues, les seins toujours libres sous de gros pulls. Elle s'y habitua quelque peu.
TROIS SEMAINES PLUS TARD
/JULIE
Elle n'avait toujours pas reçu de nouveaux ordres des maitres chanteurs. Elle se mit à penser que la plaisanterie avait pris fin. Aussi ce jeudi là, remit-elle un soutien-gorge. Son téléphone resta dans son sac.
La journée se passa normalement sauf pour les garçons qui remarquèrent tout de ...