Professeures Bizutées - 1/8
Datte: 15/01/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica
... vu. Ils se saluèrent. Elle trouva deux enveloppes dans son casier. Elle ouvrit la première qui émanait du proviseur.
* Mademoiselle,
* Compte-tenu de votre récente arrivée, j'ai décidé de vous attribuer la salle G
* de manière permanente.
* Vous comprenez bien que les anciens enseignants sont prioritaires
* pour le choix de leur lieu de travail. Personne ne voulait de la salle G.
* Cette décision est irrévocable.
* Le proviseur
Travailler dans cette salle était une plaie, elle le savait bien. Une estrade comme s'il fallait effectuer un strip-tease ; pas de protection au dos du bureau qui laissait libre vue aux élèves ; une grande fenêtre pour les spectateurs de la cours. Pas étonnant que personne ne voulait y enseigner. Mais elle n'avait pas le choix, elle devait accepter.
La seconde enveloppe était neutre. Elle ouvrit.
* Julie la pute.
* Je n'aime pas beaucoup que l'on me résiste. Tu ne sembles pas le savoir.
* Désormais, quand je te sifflerai, tu t'approcheras dare-dare.
* Sinon, je balance tes photos à un autre prof.
* A toi de choisir.
* François
Abattue par l'injonction, elle sortit de la salle de professeurs. Elle longea un long couloir, descendit l'escalier, emprunta celui de droite. Elle tomba nez à nez sur François. Il l'attendait en vérité, ayant prévu qu'elle viendrait tôt cherchez ses documents.
- Alors ma belle, tu as choisi?
- Ouais... D'accord, répondit-elle méchamment.
- Rien compris! Oui qui? D'accord ...
... quoi?
- Oui François... D'accord je m'approcherai... Ca te suffit comme ça, lança-t-elle en rage.
- Pas du tout et tu changes de ton! Désormais, tu m'appelleras Monsieur François, après tout, je pourrais être ton père, vouvoiement de rigueur. Alors qu'est-ce qu'on dit?
Elle déclara à nouveau son acceptation mais avec un ton nettement moins agressif.
- Oui... oui monsieur François... je m'approcherai.
- Bien, reprit-il, punition pour hier!
En un éclair, avec ses deux mains, il troussa la jupe déjà bien courte jusqu'au dessus des bas.
- Va à ton bureau comme ça. A bientôt.
Elle hésita quelques secondes, ébahie par la situation, mais se pressa vers son bureau car l'heure de l'ouverture approchait. Dès qu'elle eut tourné dans le dernier couloir, elle y vit l'homme d'entretien travailler devant sa salle de classe. Elle se retint de baisser sa jupe et courut jusqu'à sa porte. DORON, c'était le nom de l'homme, releva la tête dès qu'il entendit les talons claquer sur le carrelage. Il ne la baissa plus jusqu'à ce que la fille arrive à ses côté, à la porte. Il avait instantanément attrapé une belle érection en voyant les bas, les jarretelles, la culotte noire. La jupe était remontée jusqu'aux hanches. Julie, rouge de honte, s'excusa et se précipita dans la salle de classe. Elle ferma la porte et s'y adossa pour reprendre sa respiration. C'est alors que derrière la grande fenêtre de la pièce, dans la cours de récréation, elle vit François et un autre professeur ...