1. Le pari - suite et fin


    Datte: 14/01/2025, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: LING17, Source: Hds

    3.Le pari
    
    Depuis trois ans , j’ai deux maris, l’un officiel, l’autre étant mon amant ;nous vivons ensemble ; pour mon plus grand bonheur, je suis comblée aussi bien sexuellement, qu’amoureusement ; très complices, ils sont délicieusement à mes côtés, ne sachant quoi faire pour m’apporter du bonheur. Sur le plan sexuel, j’ai diminué les rencontres , pleinement comblée, malgré leur plaisir de me voir me faire saillir par un taureau bien membré , à la surprise de celui qui me baise. les deux aimant se branler pendant que je me fais prendre, devant le pourfendeur , pour ensuite ,celui -ci parti ,de se « venger », me faisant alors subir une atroce et délicieuse séance de pénétrations qui me laisse toujours pantoise de plaisir.
    
    J’avoue qu’un désir me taraude, avoir un enfant, sans avoir qui sera le père de mes deux amours ;cependant si je suis encore féconde, en principe, malgré l’absence de protection lors que je fais l’amour avec eux, et même avec max, rien ne se déclare et j’en arrive à croire que pour moi , malgré le fait que je n’ai que 44 ans , ma maternité ne veut plus de mon ventre, mais l’espoir fait vivre et un événement aller bouleverser la situation.
    
    L’un de mes garçons vit en colocation, purement matérielle et Florian m’a demandé si nous pouvions l’héberger pendant un mois, car pour sa formation d’ingénieur, il devait faire un stage dans une entreprise de notre ville. J’avoue que sur le moment, cela ne m’a pas emballé, peut être en raison de notre situation ...
    ... un peu particulière, même si mon fils était au courant ; mais à deux contre une, mes maris m’ont convaincue. Il est vrai que pour lui c’était une condition indispensable, n’ayant personne dans la région.
    
    Courtois, sympa, manifestement très cultivé, il s’est vite intégré, mes deux hommes trouvant en lui un partenaires pour de longues discussions sur les techniques automobiles, passion commune aux trois. Pour moi, je ne retenais qu’une belle prestance et surtout une galanterie qui ne pouvait que me séduire. Par contre il pouvait constater que je m’offrais aux deux, même si nous faisions preuve de discrétion le plus possible, mais mes cris de jouissance le soir ou la nuit, devaient être bien entendu de la chambre d’amis, lui prouvait si besoin était que je leur appartenais totalement. J’avais beau essayer de ne pas répondre aux sollicitations de l’un ou de l’autre le soir devant la télé où sur la terrasse, il était évident que cela l’excitait, ce que Pierre a eu vite fait de repérer.
    
    « regardes , tu le fais bander » Le malheureux ne sait plus comment se comporter et il quitte la pièce en rougissant ; il faut dire que Pierre me caressait les cuisses, la jupe remontée, découvrant mon pubis et très certainement ma fente , car lorsque je suis avec eux, je ne porte plus de slip. Les jours suivant, à ma demande, ils ont été un peu plus sages, avant que leur démon ne les reprenne: celui de m’exhiber. Avec en résultat, à nouveau une belle branche sous le pantalon, mais cette fois ...
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