1. « Josy » : La petite salope au permis de conduire. Épisode 18


    Datte: 11/01/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... délicatement et me mit à l’écart : « Je t’ai fait passer la dernière, tu es au courant ? Tu serais libre pour boire un verre après, vers midi ? » Je lui souris et je lui répondis par l’affirmative. Il plaça le plus discrètement possible un papier plié en quatre dans ma main en chuchotant : « C’est les réponses aux questions que je te poserai. Tu as le temps de les lire. Aujourd’hui, tu l’auras ton permis. »— Merci, tu es un amour. Je saurai m’en souvenir.
    
    Cette attente fut très longue, mais enfin j’allais me retrouver seule avec lui. Nous pourrons parler librement (LOL). Néanmoins, au moment où j’allais prendre place dans l’auto, Paul était toujours à l’intérieur. J’attachai ma ceinture, cependant Denis me fit attendre avant que je tourne la clé du démarreur : « Attendez Mlle, je vais d’abord contrôler vos compétences au code le route. » Cette fois, impossible pour moi de me tromper, j’avais lu et relu les réponses pendant plus de deux heures. Puis avant de démarrer, je lui demandai :— Pour conduire, est-il possible que M. Paul ne soit pas avec nous ? avec lui, je perds un peu les pédales, il m’impressionne.
    
    — Ce n’est pas possible Mlle, roulez.
    
    Après quelques centaines de mètres en centre-ville, Paul dit à Denis : « Je peux descendre ici, les candidats ne verrons rien. Vous repassez me chercher. » J’avais roulé sans faire trop d’erreur en traversant la ville puis le jeune inspecteur me fit me garer dans le petit parking souterrain de son immeuble. Nous n’avions ...
    ... pas attendu pour nous embrasser, nous étions tous les deux, chauds comme de la braise. En moins de temps, je le chevauchais, la main droite sur le volant et la gauche contre la vitre. Il me tenait les flans sans brutalité, ma tête en arrière, la bouche ouverte, mon front touchait de temps à autre le plafond de l’étroit habitacle.
    
    Je me déhanchais, mon bassin allait d’avant en arrière, je montais et descendais sur sa belle queue qui était bien plus impressionnante que celle de Paul. Il m’embrassait quelques fois mon ventre ce qui m’excitait d’autant plus. Coincé contre le dossier par mon corps, il parvenait malgré tout à donner ses coups de reins. Ce n’était pas la première fois que je baisais à l’avant d’une voiture, c’était compliqué mais intense. En effet, ce fut rapide mais torride comme j’aimais, il m’avait en quelques minutes fait jouir, lorsqu’enfoncé jusqu’à la garde, il lâcha par saccades son sperme chaud dans mon vagin bouillonnant.
    
    Après cette petite baise, nous nous étions embrassés et étions vite aller rechercher Paul, nous étions impatients de recommencer. Ce matin-là, j’avais bien bu un verre avec lui en revenant avec mon permis à la main. Cependant, je n’avais pas travaillé l’après-midi, nous avions remis le couvert pendant plus de trois heures. Après ce jour-là, nous nous étions si bien entendu sexuellement que j’avais revu Denis plusieurs fois, néanmoins, lorsque je fus absorbé par l’achat du routier, je l’avais perdu de vue.
    
    — Tu as toujours été une ...
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