Maman, Juliette et Moi 06
Datte: 10/01/2025,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: bycolibri1172001, Source: Literotica
... gode-ceinture noir. Elles allaient bien sûr profiter de mon anus propre, j'aurais dû m'en douter. Juliette avait choisi un modèle assez long et étroit, simple et lisse tandis que maman était affublée d'un organe épais et veiné comme l'était une verge d'homme. Tous les détails étaient reproduits et ma mère se faisait une fête, me dit-elle, de me dépuceler le cul avec presque une vraie bite.
Je me mis à quatre pattes au milieu du salon. Au tirage au sort, Juliette avait gagné le droit de me prendre la première. Maman se plaça devant moi, me caressa les joues avant de présenter sa fausse queue à mon visage. Suce-moi bien, mon grand, je suis certaine que tu en meurs d'envie. J'ouvris la bouche et ingurgitai le gland artificiel qui me déforma les lèvres. Derrière moi, Juliette était à la manœuvre. Elle avait déposé une goutte de gel lubrifiant au bout de sa fausse bite et présenta rapidement son engin à mon trou du cul mal remis pourtant de ce qu'il avait subi auparavant. Je fis au mieux pour sucer ma mère tandis que Juliette pénétrait doucement entre mes fesses.
-- Une vraie jeune-fille, commenta maman.
Le godemiché de Juliette était si long que j'eus presque l'impression d'être traversé de part en part et qu'elle atteignait le fond de ma gorge. Une fois bien installée, ma sœur attendit quelques instants avant d'entamer des va-et-vient. Elle sortait son engin presque complètement et, à chaque fois, qu'elle l'enfonçait de nouveau, le plaisir était décuplé.
-- Ça ...
... m'excite trop de le baiser, remarqua Juliette, je voudrais qu'il me lèche.
-- Changeons de place, proposa maman.
Ce n'était pas pour me déplaire, car sucer le gros membre de ma mère ne me satisfaisait guère. Il avait un goût de caoutchouc ou de plastique trop prononcé et me déformait la bouche. J'avais en plus très envie de savoir ce qu'il se passerait quand maman me pénétrerait avec sa grosse queue. Je ne disais rien. Juliette se désarnacha de son gode-ceinture, enleva son slip blanc, s'allongea devant moi et me plaça son sexe dégoulinant d'excitation sous la bouche. Je m'empressai de le lécher et d'y retrouver la saveur délicieuse qui m'avait déjà régalé quelques jours plus tôt.
Ma mère, elle, s'agenouilla derrière moi. Elle colla son énorme gland artificiel contre mon anus sans aller plus loin pour le moment.
-- Pousse, mon chéri, ouvre-toi pour ta maman.
Je m'exécutai. Je savais que j'avais le colon parfaitement vide et que rien de fâcheux ne risquait d'en sortir. Je poussai donc et, comme par miracle, mon petit trou s'élargit et aspira d'un seul coup le gland de caoutchouc. Il était énorme et je me sentais distendu, presque déchiré. Maman me félicita et souligna comme j'aimais cela, recevoir une grosse queue dans le derrière. Je continuais à lécher ma sœur, mais j'avais bien du mal à me concentrer tant tout mon esprit était comme rassemblé autour de mon anus. J'avais le souffle court espérant et m'inquiétant tout à la fois de la poussée que ma mère n'allait pas ...