1. Féérie royale au Cap d’Agde (3ème partie)


    Datte: 10/01/2025, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Couple-subtil, Source: Hds

    ... le double d’hommes. Seize : leurs six compagnons, Francis, les deux esclaves allemands, Julius qui regarde dans un coin et six hommes plus jeunes, dont deux très beaux Noirs, qui discutent en rigolant de l’anatomie des femmes qu’ils vont baiser. Léopold remarque aussi que les six couples sont assez jeunes, la trentaine comme eux, et tous très beaux.
    
    Francis commence son inspection. De chaque femme il relève la longue robe sur les fesses puis les caresse longuement, introduisant un, deux doigts dans leur vagin, qu’il lave ensuite soigneusement dans une écuelle que lui tend son esclave. Très jolie aussi. Très mince, l’air très jeune, elle le suit comme son ombre. Arrivé à Chrystèle il la félicite pour sa croupe, la pénètre doucement, deux, trois, quatre doigts qu’il fait longuement coulisser jusqu’à qu’elle gémisse de plaisir. Les six premières femmes ont joué le jeu des sans culottes. Mais pas la septième. Jouant le maître furieux Francis lui arrache sa culotte puis appelle les deux Allemands que sa femme détache. « Mettez cette trainée au pilori. A poil. » Personne ne réagit tandis que sa robe lui est enlevée et qu’elle est mise nue au pilori, les fesses accessibles à tous. Les autres femmes gardent leur position. « Elle n’aura droit qu’à la sodomie. Les autres je vous félicite. Nous allons bien vous baiser. » Il tend à chaque homme un chapeau dans lequel il y a seize numéros. Ils en prennent un chacun. « Mesdames vous allez dire deux chiffres de un à seize et les hommes ...
    ... qui portent ces chiffres pourront vous baiser et se faire sucer. Vous avez bien compris ? » Une grande blonde au cul très replet crie « dix et sept ». Ni une ni deux les numéros dix et sept l’entourent. Le premier, compagnon d’une des femmes préfère se faire sucer pendant que l’autre, un gaillard immense au sexe incroyablement long la pénètre en levrette.
    
    D’une petite voix Chrystèle dit « un et deux ». Un et deux se révèlent être les deux beaux blacks, qui se révèlent très bien pourvus par la nature, se mettent prestement nus et l’entourent. Chrystèle dira plus tard avoir subi leurs assauts « incroyablement sensuels. Leurs bites étaient comme du velours. Sucer son énorme gland était comme gouter une glace Berthillon. Et le sexe de l’autre me remplissait divinement. Ca plus l’excitation de la situation, j’ai joui à en mourir. » Sans aller jusque-là Léopold profitait bien de la bouche d’une très jolie asiatique à laquelle il ne manquait que des formes un peu plus affirmées pour être irrésistible. Debout devant elle il regardait de l’autre côté le mari de la grande blonde, celle qui avait lancé les hostilités, pénétrer avec vigueur la jolie Asiatique avant de lui proposer d’échanger leurs places. Il ne se fait pas prier. Maintenant les huit femmes se font baiser. Le maître des lieux sodomise ardemment la contrevenante qui suce un des deux Allemands pendant que Julius s’occupe de son épouse. Partout ce sont ahanements, petits et grands cris, effluves de sexe qui montent…Le « ...