1. Le string mène à tout...


    Datte: 23/07/2019, Catégories: hh, médical, Oral init, Auteur: Love Doctor, Source: Revebebe

    ... un sourire mutin.
    
    Légèrement surprise, elle se sentit coincée et obligée de m’imiter ; elle régla les deux achats.
    
    Les jours suivants, j’oubliai ce string qui me revint en mémoire un matin où, fouillant dans le tiroir de mes sous-vêtements, je sentis le tissu doux et fluide sous mes doigts. Avec malice, je jouai un moment avec puis le passai pour « voir ce que cela fait ». Comme dans la cabine, je me sentis bien avec, et bientôt plus que bien lorsque je passai mon jean : me sentir fesses nues sous mon pantalon m’excita aussitôt et je bandais en sortant de chez moi. Heureusement, personne ne le remarqua et cela se calma ensuite durant le trajet en voiture.
    
    Mais toute la journée je sentis une excitation latente qui devenait parfois patente lorsque j’avais des idées coquines : la secrétaire stagiaire que je m’imaginais culbuter sur mon bureau, la DRH en tailleur que j’aurais bien prise debout dans le couloir… Bref, ce string dopait mes fantasmes ! J’étais chaud bouillant et avais hâte de rentrer chez moi pour en faire profiter ma femme. Mais comme à son habitude, elle n’était pas réceptive à mes envies et je me gardai bien de lui de lui décrire mes sous-vêtements du jour, ne voulant pas passer pour un détraqué. Je me dévêtis donc discrètement, lavant le string dans le lavabo de ma salle de bain et le faisant sécher entre les serviettes de toilette que moi seul utilisais, le laissant là en attendant une éventuelle nouvelle utilisation.
    
    Notre sexualité reprit son ...
    ... rythme de croisière, c’est à dire mer d’huile et absence de vent ! Bref, mon épouse m’accordait rarement des « baises hygiéniques », et l’idée de reprendre une maîtresse me vint à l’esprit. Après tout, je n’étais pas encore trop moche ni trop vieux, et je plaisais encore si j’en croyais les sourires que j’échangeais avec les collègues féminines de la boîte. D’ailleurs, si elles savaient ce que je portais parfois sous mon pantalon, elles auraient été peut-être choquées, mais assurément surprises. Car je mettais parfois mon string lorsque j’avais envie de m’exciter incognito et sentir à nouveau ma queue durcir. Ces jours-là, il m’arrivait parfois de me caresser dans les toilettes du bureau pour me soulager avant de rentrer.
    
    Je menais une sorte de double vie somme toute relativement sage, prenant bien garde à ne pas laisser ma femme comprendre que je portais plus souvent son achat qu’elle le sien ! Mais un jour mon secret fut dévoilé, si ce n’est à la face du monde, au moins à une personne.
    
    Un matin comme un autre, j’arrivai au travail, et après un rapide café avec mon collègue je pris place à mon bureau où au milieu du courrier trônait une lettre officielle à mon nom. Un peu surpris, j’en pris connaissance et appris que je devais être le jour même à dix heures dans les locaux de l’infirmerie pour la visite médicale annuelle.
    
    — Merde, j’ai complètement oublié ! dis-je doucement.
    
    Mon collègue sourit, étonné.
    
    — Tu as oublié quoi ? L’anniversaire de ta femme ? dit-il, ...
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