Confidences Téléphoniques - Histoires de Sexe

Confidences Téléphoniques

... te parler plus longtemps. Tout est calme, la voie est libre, et Serge m'attend dans sa chambre pour une petite pipe. Ses parents sont vraiment vieux jeu. Ils nous ont installés dans des chambres séparées. S'ils savaient ! »

Et de bonne heure, le lendemain matin

« Salut chéri. Nous sommes toujours chez les parents de Serge, mais je ne pense pas que nous allons rester ici très longtemps. Je suis un peu contrariée par ce qui s'est passé cette nuit. Quand j'ai raccroché, hier soir, je me suis faufilée dans la chambre de Serge pour lui faire une petite pipe. Eh bien, je me suis fait prendre ! C'est tellement embarrassant, bébé ! Serge était assis sur le bord de son lit, jambes écartées. J'étais agenouillée entre ses jambes, comme il se doit pour pratiquer une bonne fellation. J'avais mis ma tenue sexy, mon déshabillé vaporeux et mes mules à talons. Rien d'autre. Sauf un rouge à lèvre excessif. Serge aime que j'aie l'air d'une pute quand je le suce. Et moi, j'aime lui plaire. »

« Quoi qu'il en soit, j'étais au travail, entre ses jambes. Je le suçais depuis un bon moment, et je savais qu'il était sur le point de jouir. Soudain, j'ai entendu la porte s'ouvrir. Surprise, j'ai tourné la tête, juste au moment précis où Serge se mettait à éjaculer. Le moment n'aurait pas pu être pire ! Sa mère entrait dans la chambre ! Sans prévenir, sans frapper ! Serge a éjaculé jusque sur les pieds de sa mère ! Elle s'est mise dans une rage folle ! Elle a commencé à m'insulter et à me ...

... traiter de pute et de salope ! Serge est resté tétanisé pendant que sa mère me criait dessus. Elle hurlait si fort que le père de Serge est venu voir ce qui se passait. Je ne pouvais pas comprendre ce qui la bouleversait à ce point, je veux dire, quel est le problème si je suce la bite de son fils? Nous ne sommes plus des gamins ! »

« Je me suis enfuie ma chambre. Je me suis jetée sur mon lit en pleurant. J'étais allongée sur le ventre, le visage enfoui dans l'oreiller. L'agitation s'est calmée, et j'ai pensé que tout le monde était allé se coucher. Il faisait noir dans ma chambre, lorsque quelqu'un est entré en catimini. Il s'est assis sur le bord du lit pour me caresser le dos. J'ai supposé que c'était Serge, c'était si bon, et j'avais besoin de réconfort. C'est quand il s'est allongé contre moi en me disant que tout allait bien, de ne pas m'inquiéter, que j'ai réalisé que c'était son père. J'avais vraiment besoin de réconfort, tu sais, chéri. Il s'est blotti contre moi en me caressant. »

« C'était vraiment bon. Il m'embrassait dans le cou, me parlait doucement, je me détendais. Puis j'ai senti son érection pousser contre mon cul. Je ne suis pas de bois, tu sais, chéri. Quand un homme me désire, hé bien, ça remue dans mon ventre, et mon désir s'éveille. Sa main pressait mon sein pendant qu'il frottait sa bite dans ma raie culière. Je n'ai pas fait grand-chose. Juste me cambrer un peu pour lui faciliter l'accès. L'instant suivant, il pénétrait ma chatte. Avec douceur, ...