Le voisin est monté - Histoires de Sexe

Le voisin est monté

Souad téléphone à sa copine Coralie, suite à des évènements récents. Elles ont déjà abordé ce sujet plusieurs fois. Coralie connaît déjà toutes les étapes et les petites entailles dans le contrat que Souad a passé avec son copain, qui vont mener à ce dénouement.

— Il faut que je te raconte ce qui m’est arrivé la semaine dernière. Tu te souviens quand je suis restée en télétravail, jeudi et vendredi ? Bien, en fait, y a eu un petit dérapage avec le voisin.
— Tu es sérieuse ? Je le savais, je t’avais dit qu’il allait se passer quelque chose… Surtout après ce que tu m’as raconté déjà.
— Il ne s’est rien passé dans ce que je t’ai raconté.
— Ah si quand même… tu te laissais voir par la fenêtre, t’as laissé la fenêtre ouverte quand tu baisais avec ton mec pour qu’il entende, tu l’as embrassé dans le hall, quand ton mec était dans l’appartement… Si si, il s’est passé des choses déjà.
— OK, c’est pas faux. Au final, il a juste déposé un petit bisou sur mes lèvres, non ?
— Comment tu minimises ! Il t’a embrassée à pleine bouche, il a frotté sa cuisse entre tes cuisses et tu étais ultra-excitée, tu m’as dit ça !
— OK OK, mais il m’a pas baisée dans le hall, quand même !
— Non, c’est ton mec quand tu es remontée, tellement tu en pouvais plus, grande folle, lol !
— Bref, je te raconte, car là c’est allé plus loin. J’ai besoin de t’en parler. On se textait, ça commençait à m’exciter et là il m’a demandé de monter à la maison. J’ai dit oui.
— Mais arrête ...

... ! C’est sûr qu’il t’a baisé ?
— Bon, tu veux que je te raconte ou pas ? J’ai besoin de lâcher le truc. J’ai juste eu le temps de me changer pour être présentable, enfin pour être désirable… Direct, en ouvrant la porte, j’ai senti la tension sexuelle, et le dérapage qui arrivait, là, maintenant. En plus, je n’avais pas vu mon mec depuis une semaine.
— Il ne t’a pas baisée contre la porte, lol ?
— Mais non, on a pris un café, assis, mais bon il me reluquait et ça devenait gênant.
— Bein, ça s’est arrêté là ? Ce n’est pas possible. Vas-y, dis-moi.
— Je n’ai rien capté. Ça a dû glisser.
— Waouh, c’est chaud ! Tu as fait comment avec ton mec ?
— Il est venu le lendemain. Mais le soir, j’étais énervée, je lui ai téléphoné, pour lui dire que j’étais en manque de sexe, d’affection, de tout. Il n’a rien remarqué.
— Discrète ! Tu as continué ta journée normalement ?
— Ouais, bien sûr. Enfin, dans la salle de bains, j’ai réalisé ma connerie en me regardant dans la glace. Là, j’ai enlevé ma culotte pour me doucher, j’ai senti que j’étais poisseuse de son sperme et j’ai senti son odeur. J’ai eu une pulsion immédiate. Je me suis touchée debout direct, fort, en me mettant des doigts, j’imaginais qu’il était derrière en train de me pilonner comme si j’étais son objet, juste en me soulevant par la puissance de sa bite.
— Ça, c’est plus problématique. Tu sais que c’est cela qui va arriver ? Et plusieurs fois.
— Je vais essayer de résister. Mais oui, je sais.