1. Dégénérescence Régénérée


    Datte: 05/01/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: bymarco_solo, Source: Literotica

    ... femme-objet. La pointe de ma langue darde le mamelon. Mes lèvres embrassent le sein sous prétexte de l'enduire de salive. Madame ne dit rien, elle branle doucement Toni, mais en pressant durement sa queue. Je la sens excitée, la pointe de son nichon est raide contre ma langue. Les miens me font un mal de chien tellement lourds, tellement tendus. On dirait qu'ils désirent m'infliger une punition. Les petits monstres semblent s'acharner sur mes tétons dans un festin orgiaque. De sa main libre, Madame joue avec, elle est sans pitié. Elle me torture, elle me martyrise et mes nichons ne protestent plus. Je lui jette un regard par en dessous, pour apercevoir son air amusé.
    
    Mes lèvres dévalent vers son ventre à la poursuite d'un filet d'eau que Madame m'ordonne de suivre et de rattraper. Je m'attarde sur le nombril, en fais trois fois le tour et file vers le mont de vénus. Le supplice est terrible. J'ai envie de plus, mais je souffre. Madame sourit, sourire dont je me nourris. Elle commande à Toni de l'arroser. Le liquide dégouline partout, je ne sais plus où donner de la langue. Madame me moque.
    
    — As-tu peur de me lécher le sexe? demande-t-elle.
    
    Hypocrite, je réponds que j'en attendais l'ordre. Elle me l'ordonne et je m'exécute.
    
    Elle joue avec le membre de Toni. Elle le tord, le branle, le tire dans tous les sens en lui commandant une interdiction formelle d'éjaculer. Je ne sais pas si c'est possible.
    
    Je suis entre ses cuisses. Je sens son odeur. Ses odeurs. Fortes ...
    ... et musquées.
    
    J'écarte ses lèvres.
    
    Madame sent la femelle. Madame sent la chatte. Madame sent l'urine.
    
    Son parfum me rend folle.
    
    Je cherche, je remue, j'aspire le clitoris. Je joue avec le petit bouton dont j'aime la raideur. Cette fois Madame ne fait aucune remontrance pour cet oubli manifeste de mon rôle de gant de toilette. Chaque parcelle de plaisir semble déchirer mes seins et transpercer mon corps, si bien qu'à la fin le feu qui me brule me procure autant de plaisir que la mouille qui coule dans ma bouche. Madame mouille d'abondance. Son odeur d'urine, cette pisse dont moi-même je me suis avilie, m'excite terriblement. Nous ne sommes pas si différentes : moi, à ses pieds, entre ses cuisses, la bouche collée à sa vulve ; elle, debout qui me domine et me rabaisse. Les deux faces d'une même pièce, indispensables compléments. J'en viens à espérer qu'elle me pisse dans la bouche. Je veux sentir le goût, la chaleur de ses liqueurs intimes sur ma langue, dans ma bouche, sur mon visage, en recouvrir chaque pore de ma peau, pour que Madame me marque de son odeur et que l'on sache que je lui appartiens. Madame me repousse, sans brusquerie. « Continue ta besogne! »
    
    Je lèche ses cuisses, ses jambes, et puis ses pieds. Je suis prosternée à ses pieds, ramassée sur moi-même comme un vulgaire paquet cadeau. Je m'applique à bien détailler chaque orteil, le sucer avec application.
    
    Quand soudain...
    
    La sonnette de la porte d'entrée retentit. Madame ne réagit pas. Les ...
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