Amazonie 2
Datte: 04/01/2025,
Catégories:
pro,
fh,
ff,
fff,
hh,
fhh,
BDSM / Fétichisme
Transexuels
uro,
historique,
merveilleu,
fantastiq,
Auteur: Miss Arthur, Source: Revebebe
... commençai à la ramoner, Mélanie vint derrière sa croupe pour l’enculer. Lia ondulait de plaisir sous les coups de boutoir de ma femme. Si je ne bougeai plus trop, je sentais la compression de la gaine anale sur le vagin de notre Lia prise par ses deux trous. C’était divin(merci Circé). L’étreinte continua quelque temps avant que Lia ne jouisse la première et que nous n’éjaculions chacune dans le trou qui nous était assigné.
Nous dormîmes ensuite jusqu’au matin où Lia s’éclipsa avant que les enfants ne se réveillent.
* Voir « Opération Circé »
** Voir « Un Noël particulier »
Nous partîmes la semaine suivante deux jours à Madrid pour le lancement des préparatifs de la future exposition, ayant laissé les enfants à la mère de Mélanie. Il était prévu que nous soyons accueillies à l’aéroport par l’homologue de notre directeur des opérations, le colonel Iglesias, de prénom Julio. Était-ce une blague ou une fausse identité ? D’après sa fiche, il était né en 1962 et avait donc presque soixante ans. Il était marié et sans enfant. Nous le reconnûmes facilement à la sortie de la zone d’arrivée. Il était accompagné de deux hommes. Nous étions en fin d’après-midi.
— Ah, Mesdames, ravi de vous rencontrer, fit-il dans un français visiblement excellent.
— Le plaisir est pour nous, colonel, fis-je.
Nous allons vous conduire à votre hôtel, puis si vous en êtes d’accord, je vous invite à dîner ce soir à la maison, à une heure plus française qu’espagnole car le voyage vous a ...
... peut-être fatiguées.
— Cela devrait aller, Colonel, répondit Mélanie, le vol était direct et agréable. Mais nous sommes enchantées de votre invitation.
— Bien, la voiture nous attend un peu plus loin.
Le colonel nous expliqua dans la voiture que la journée du lendemain serait consacrée à la future exposition avec rencontres de représentants des ministères espagnols de la Recherche et de la Culture et que nous aurions des discussions plus professionnelles « entre nous » le surlendemain.
Nous restâmes environ une heure à l’hôtel avant que le colonel vienne nous chercher vers dix-neuf heures.
— Alors bien reposées, nous fit-il.
— Oui, c’était parfait, merci, dit Mélanie.
— Je propose que nous nous appelions par nos prénoms, cela ne vous dérange pas ?
— Oui, merci, Julio… répondis-je en ayant l’air embêtée.
— Je sais Alexandra, mes parents ne pouvaient pas prévoir qu’un autre Julio deviendrait une vedette internationale ! Si seulement j’avais sa voix !
— On est ce qu’on est, fit Mélanie…
— Quoiqu’on peut aussi devenir un autre ! lançai-je.
Nous étions chez Julio vingt minutes plus tard. Une très belle femme d’une quarantaine d’années, de type sud-américain, vint à notre rencontre alors que nous passions la porte d’entrée.
— Manola, je te présente Alexandra et Mélanie nos amies françaises, dit Julio en portugais à celle qui devait être sa femme.
— Enchantée, dis-je à mon tour dans la même langue.
— Alexandra, Mélanie, reprit Julio en français, je vous ...