Sur la route de la corniche - 3
Datte: 02/01/2025,
Catégories:
fh,
couleurs,
bizarre,
hotel,
fsoumise,
Oral
pénétratio,
fsodo,
aventure,
extraconj,
Auteur: Djangerine, Source: Revebebe
... sensations qui tournaient dans sa tête depuis la soirée à la plage. Il n’y avait aucun érotisme entre eux, uniquement une pulsion animale à laquelle elle était prête à se soumettre. Elle allait se faire baiser.
Il s’écarta d’elle et, contrairement à la fois précédente, il lui présenta sa queue :
— Allez, montre-moi comment tu suces, ma jolie ! la faisant d’une poussée pivoter et s’asseoir sur le lit.
Elle s’imagina refuser, puis se résigna, l’attrapa du bout des doigts et approcha ses lèvres. Elle s’animait progressivement.
Comme elle l’avait pensé, elle ne put le prendre que très partiellement dans sa bouche, et dut se résoudre à le parcourir de ses lèvres puis à le lécher. Il l’encouragea à le faire sur toute la longueur de son sexe, puis il essaya de forcer sa bouche, écartelant ses lèvres, venant cogner contre son palais. Mais il se lassa rapidement, souhaitant passer aux choses sérieuses sans plus tarder.
Il la fit s’allonger, relever légèrement ses jambes, s’agenouilla entre elles et, en appui sur un bras, la caressa brièvement puis s’approcha d’elle. Il avait enfilé une capote. Comme la première fois, il commença par la masser avec son sexe, le faisant coulisser entre ses lèvres, presser son clitoris, doucement, lentement. Comme la première fois le contact avec ce sexe épais, massif, et qu’elle pouvait observer aujourd’hui, fit considérablement croître son envie.
Se reculant et s’aidant de la main, il orienta son sexe et entreprit de la pénétrer avec ...
... douceur. Après trois ou quatre mouvements, elle finit de se détendre, appréciant à nouveau de se faire prendre par cette belle queue. Les sensations étaient identiques, les compliments aussi étaient similaires.
— T’es vraiment bonne, t’es faite pour ma bite ! Tu aimes ce que je te fais ma jolie salope ?
Quel romantisme ! Elle se laissait prendre sans répondre mais était obligée de convenir qu’elle aimait ça.
Il la prit ainsi longuement, l’incitant à s’ouvrir progressivement jusqu’à l’accueillir presque entièrement. Elle se sentait très humide, très réceptive, commençait à prendre du plaisir, mais il s’interrompit. Sans un mot, il la fit se retourner et se mettre à quatre pattes sur le lit, elle découvrit qu’il avait un petit pot avec lui, dans lequel il plongea ses doigts avant d’étaler le produit sur sa queue encapuchonnée. Elle prit à nouveau conscience de la situation dans laquelle elle s’était mise, tout indiquait qu’il s’apprêtait à la sodomiser, elle tressaillit.
En même temps qu’il la reprenait et s’aidant aussi de salive, il entreprit de la préparer. Il avait maintenant deux doigts bien enfoncés, la faisant gémir :
— Non, s’il te plaît !
Le garçon la questionnait tout en la doigtant :
— Tu t’es quand même déjà fait enculer ?
Elle émit un petit « oui ». Il continua :
— Souvent ? Ton copain, il t’encule souvent ?
Elle acquiesça à nouveau.
— Et t’aimes ça ? … Eh bien, alors pas de problème !
— Oui mais tu es trop gros, beaucoup plus gros ...