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L'après
Datte: 01/01/2025, Catégories: ff, massage, Oral journal, lesbos, Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe
... elle posa ses lèvres sur ma vulve qui était trempée. Et elle prit mon clito entre ses lèvres. Tout glissait, tout était doux. J’étais dans un bain gélatineux de douceur. Ses lèvres suçaient doucement mon clitoris que je sentais complètement sorti et sa langue pénétrait mon vagin. J’eus un orgasme violent qui m’arracha un petit cri et me fit tétaniser mes muscles. Elle continua à lécher un peu et une seconde décharge de jouissance m’inonda. Elle remonta lentement son corps en se collant toujours à moi. Lorsqu’elle fut juste à la hauteur, j’eus une envie folle de l’embrasser. Sa bouche était douce, son visage, trempé par un mélange du gel et de mon abondante cyprine dont je reconnaissais le goût et le parfum. Nous échangeâmes nos langues et j’ai eu envie de lui rendre ce plaisir qu’elle m’avait donné. Je lui fis comprendre, elle se mit à califourchon devant ma bouche. J’avais son sexe sur moi dégoulinant de gel et de cyprine. Je voyais le petit papillon juste au-dessus de la vulve. Elle se malaxait les seins. Je la léchais très fort et alors elle écarta ses lèvres avec ses doigts pour m’offrir son vagin puis elle s’avança plus encore sur ma bouche en écartant ses fesses me faisant comprendre qu’elle aimait se faire lécher le petit trou, ce que ...
... je fis avec gourmandise. Elle jouit et s’abattit sur moi. Nous sommes restées un moment indéfini l’une contre l’autre et la vie reprit le dessus. On s’est retrouvées sous la douche en continuant à mettre nos doigts partout ce qui provoqua une nouvelle jouissance. Elle renfila sa robe chinoise et je me rhabillais. Elle me fit remarquer : — Ta lingerie est très belle. En me passant la culotte, elle la mit ostensiblement à son nez et me dit en riant : — Tu sens bon, j’aime bien tes odeurs. Le pluriel me fit rougir, imaginant de quelles odeurs elle voulait parler. Elle resta pour remettre de l’ordre, je la remerciai pour ce fabuleux moment et la découverte de ce gel et de l’usage qu’elle en fait. J’avais les jambes en coton, la remontée de l’escalier en colimaçon fut difficile. Je réglai la « prestation » en disant à Carole que ça avait dépassé mes espérances. Elle me lança un regard pétillant. J’en profitai pour prendre un rendez-vous avec elle pour une épilation. D’un air mutin, elle me dit : — Maillot intégral, je suppose. Une cliente amusée dit tout haut : — Vous avez raison, elle fait ça très bien. Il faisait encore tiède en sortant et je décidais de rentrer chez moi à pied, pas plus d’une vingtaine de minutes.