Professeures Bizutées - 5/8
Datte: 01/01/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica
... pas y échapper. C'est notre devoir que de t'y astreindre.
La voix résonnait lugubrement dans la réserve. Les quatre étaient alignés, assis devant elle, pantalons baissés, la queue pendante entre leurs jambes. Il faisait sombre et froid. Elle craignait le pire, à juste titre.
- Désormais, bizute Gros Cul, lorsque tu viendras au lycée, tu devras être nue pour quitter ta maison et nue pour y entrer. Tu n'as le droit de te couvrir de ton manteau que dans ta voiture. Tu gareras toujours ta voiture dans la rue, jamais dans ton garage. Compris Gros Cul?
- Messieurs, s'il vous plaît... Ce n'est pas ici, au lycée... le bizutage, c'est au lycée... Mes voisins, je ne peux pas faire ça! Pitié, je ne dirai plus rien aux élèves.
- Tu préfèrerais peut-être avoir ton manteau sous le bras... au lycée?
- Non, non, répondit-elle affolée, pardon! Je vais le faire... oui monsieur.
- Très bien bizute Gros Cul. Sois consciente que nous vérifierons... Viens à quatre patte nous essuyer la queue avec ta bouche et puis tu pourras partir.
Ce faisant, elle attrapa une dose de sperme sur le visage. Xavier avait déjà repris des forces.
Ce soir là, elle refit les dix mètres qui séparaient sa voiture de sa porte de maison, une nouvelle fois entièrement nue, au grand plaisir de son mari qui bandait de la voir tellement déchue.
VENDREDI
/LE PROVISEUR /ELISABETH RAMPLANT
L'idée lui était venue le matin même alors qu'il prenait son petit déjeuner. Assis à la table de cuisine, ...
... il eut besoin uriner et donc d'interrompre son repas.
Au début, ces histoires de bizutage l'avaient ennuyé. D'une part, le bizutage était interdit par la loi ; d'autre part, il ne s'appliquait jamais aux professeurs. C'est toutefois ce second point qui lui fit fermer les yeux. Le bizutage appliqué aux enseignants ne risquait pas les indignations des parents d'élèves, tout au plus des problèmes avec les syndicats ou son administration. Il se sentait rassuré en constatant que rien ne bougeait de ce côté, les filles se semblaient pas avoir fait appel à du protectorat. Il fut complètement tranquillisé lorsqu'il découvrit que madame Elisabeth RAMPLANT faisait partie des souffre-douleur.
Les jeunes professeures telles que Amélie ou Julie touchaient moins ses fantasmes. En revanche, la mère RAMPLANT l'excitait au plus haut point. Il la trouvait si fière et prétentieuse que la dégrader était une géniale opportunité. Sans compter qu'elle l'avait toujours pris de haut, cachant à peine son dégout pour ce proviseur petit, rond et un peu lâche.
Madame Elisabeth RAMPLANT en était à son avant-dernière heure de classe de la journée lorsqu'il fit son entrée.
- Levez-vous, ordonna-t-elle aux élèves.
Elle en fit de même, crispée à côté de cet homme qui l'avait déjà profondément humiliée.
- Bonjour tout le monde, commença le proviseur, excusez-moi d'interrompre votre cours, chère madame, mais je dois donner aux élèves les détails de l'examen blanc de la semaine prochaine.
Il ...