À cheval ! - Histoires de Sexe

À cheval !

... tant excitée, ça pourrait être presque gênant, presque douloureux. Je me cramponne aux draps, et je garde ma croupe ferme, je la recule un peu, je sens qu’il s’enfonce encore plus. Enfin, je le sens jouir. Quelques coups encore, il finit de se vider dans moi, c’est si bon. Je tourne la tête autant que possible, je le regarde, je lui souris :

— C’était très bon. J’étais à deux doigts de te demander de m’enculer.
— La prochaine fois, alors, si tu veux.
— Oui.

Léa

Je suis encore dans la piscine. Isa et Simon viennent de partir. Manon est avec moi :

— Ils sont bien conservés tous les deux. Simon a un beau cul.
— Oui. Et une belle queue.
— Ah bon ? Tu le sais comment ? Cet après-midi, il n’y avait pas grand-chose à voir.
— Cet après-midi, l’eau était froide, dans la rivière. Là, dans la piscine, l’eau est plus chaude, et je suis persuadée qu’Isa l’a tripoté sous l’eau.
— Je n’ai rien vu du tout. Et tu crois qu’ils vont baiser, ce soir ?
— Je ne crois pas, j’en suis sûre. Ils viennent à peine de partir, à mon avis, ils sont déjà en train de baiser.
— Tu crois ? Je vais aller écouter.

Je sors, et je vais essayer de trouver un endroit, juste à l’extérieur de leur bungalow, et tendre l’oreille.

Manon

Elle est marrante, Léa. Elle fait celle qui est délurée, qui a tout fait, mais elle ne remarque rien. La voilà partie vers le bungalow d’Isa et Simon. Elle a juste attrapé sa serviette au passage. Je me demande bien ce qu’elle va faire.

Elle est partie ...

... depuis au moins cinq minutes, peut-être dix. Elle ne revient pas. Je commence à avoir froid, dans l’eau, j’y vais à mon tour, avec ma serviette. J’arrive près du bungalow, et je vois Léa. Elle est en train d’écouter, assise sur une chaise de jardin, posée à côté d’une fenêtre du bungalow. Je ne sais pas ce qu’elle entend, mais j’ai l’impression qu’elle se masturbe.

Je m’approche encore un peu plus. Oui, c’est bien ça, elle se branle. Fort. Frénétiquement. J’entre dans son champ de vision. Elle me regarde. Je ne sais pas si elle me voit bien car j’ai l’impression que ses yeux, sa tête, sont ailleurs. Je lui souris. Elle me regarde vraiment maintenant. Elle se penche un peu en arrière, sans quitter mon regard. Sa bouche s’ouvre. Elle jouit. Puis elle se lève, elle met son index de la main gauche sur ses lèvres pour que je ne parle pas. Sa main droite est toujours posée sur sa chatte, qui ne doit pas être encore calmée. Nous nous éloignons vers la piscine, nous y replongeons :

— Alors, Léa, c’était quoi ?
— Déjà, ouf, la piscine, on va nager un peu, ça me permet de me refroidir. Tu avais raison. Dès que je suis arrivée, je les ai entendus. Ils baisaient. C’était un peu animal, j’entendais le lit grincer, et ils échangeaient quelques mots, vas-y, plus fort, etc. ça m’a excité grave. Quand je t’ai vue, je n’étais même pas sûre que c’était toi, mais j’en pouvais plus, il fallait que j’arrive à jouir. Heureusement, je t’ai reconnue et ton sourire m’a enlevé toute gêne.
— Et tu y ...