1. Aurore, ou l'histoire d'une fougueuse complicité


    Datte: 22/07/2019, Catégories: fh, extracon, Oral fsodo, confession, Auteur: Rogeruzes, Source: Revebebe

    L’histoire que vous allez lire est réelle mais les lieux et personnages ont été modifiés.
    
    Nous sommes en Provence, dans la région d’Uzès. Je me présente, Roger, la quarantaine bien sonnée, 1,85 m châtain clair, yeux bleus, cadre moyen. Je suis marié, mais un grand vide se fait ressentir dans ma vie sexuelle.
    
    Un jour, on m’a demandé de faire partie de la gestion de la maison des jeunes du village. Certains jeunes voulaient créer de nouvelles activités et surtout monter un spectacle. Je me rends donc à la première réunion, je retrouve certaines personnes du quartier que je connais mais également des personnes que je n’ai jamais vues. Parmi celles-ci, une ravissante brune, très féminine, d’un charme fou. Je l’observe, la salue, nos regards se croisent mais sans plus. Nous sommes alors au mois de janvier et nous décidons de mettre en scène un spectacle pour la fin du mois de mai.
    
    Bricoleur, je m’occupe principalement de la partie décors et technique de la pièce. Aurélie, quant à elle, s’occupe de la mise en scène, elle est professeur de lettres dans le lycée d’une grande ville voisine. J’apprends qu’elle est mariée, qu’elle a à peine quarante ans.
    
    Les répétitions se passent bien, l’ambiance est très bonne et nous rions souvent tous ensemble. Durant les répétitions, je me retrouve souvent auprès d’Aurélie et nous parlons de tout, nous rions souvent de bon cœur. Nous reprenons certaines répliques du spectacle et nous les mettons à la sauceséance d’après 22 h comme ...
    ... nous nous plaisons à dire.
    
    Je dois reconnaître que chaque semaine, je me réjouissais de voir la belle Aurélie et de passer quelques heures en sa compagnie. À chaque rencontre, je l’observais discrètement, je me régalais des tenues qu’elle portait et il m’arrivait de tenter de deviner la lingerie en dessous. Une chose chez elle m’attirait beaucoup, c’était ses chaussures,elle doit-être une fashion victime, me disais-je.
    
    Arrive le mois de mai et la représentation. Nous décidons le lendemain de tous nous retrouver autour d’un bon repas pour fêter la réussite. La complicité entre Aurélie et moi n’a cessé de grandir durant ce semestre mais sans le moindre sous-entendu ni le moindre geste déplacé.
    
    Toute la bande partageait régulièrement des commentaires ou des propos sur l’évolution des répétitions sur Facebook. Un soir, Aurélie poste un commentaire auquel je réponds sur un ton assez humoristique. Nous sommes plusieurs à commenter le statut, puis à un certain moment, je me rends compte qu’il n’y a plus qu’Aurélie et moi-même qui commentons. Nos réponses se font toutes sur le ton de l’humour mais lorsqu’on y fait bien attention, nous tenons un dialogue plein de sous-entendus.
    
    Jusqu’à ce jour, nous ne nous étions jamais envoyé aucun message en privé. En plein milieu de ce dialogue public, la fenêtre des messages privés s’affiche sur ma tablette et Aurélie me dit qu’il vaut mieux qu’on continue en privé, trop de personnes peuvent lire nos commentaires.
    
    À la lecture de ces ...
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