1. Béalaure, sa vie, son œuvre…


    Datte: 30/12/2024, Catégories: fh, ff, forêt, froid, amour, Oral préservati, pénétratio, fdanus, hdanus, aventure, Auteur: Diable Mouret, Source: Revebebe

    ... chevaucher mes genoux, en plaçant ses genoux à elle de part et d’autre de mon bassin. Elle avait ses mains de part et d’autre de ma tête et caressait sa fente du bout de ma hampe.
    
    J’ai fait glisser mon bassin pour accéder plus profondément à son trésor caché, mais elle m’a demandé de rester ainsi : le gland tout juste introduit, pour qu’elle puisse juste, tout en poursuivant son récit, me sentir bander et ramollir au fil des épisodes.
    
    Les vacances de Béalaure se déroulaient traditionnellement en famille sous la surveillance attentive de grands-parents traditionalistes. Les échanges avec les cousins et cousines de tous les âges n’abordaient que des sujets parfaitement décents. Bref, elle s’était un peu ennuyée, pour rester, là aussi, décente dans le propos.
    
    De retour à Lyon, elle a recroisé son amie qui disposait désormais d’un petit studio indépendant, dans le quartier de l’université. Non sans en avoir avisé ses parents, elle alla y prendre le thé pour le motif parfaitement honorable de parler de leurs projets d’études universitaires. Pour sa part, Béalaure allait tenter Médecine.
    
    Béalaure fit ainsi son entrée dans la « salle d’attente » des études de médecine avec un début de plan de carrière. Hélas, elle constata bien vite que lenumerus clausus de fin de première année allait casser ses projets. Elle constata aussi que les carabins plus avancés étaient, pour certains, des jeunes gens de bonne famille et d’agréables camarades de soirée.
    
    Elle embrassa donc ...
    ... quelques crapauds baveux, histoire de se familiariser avec cette nouvelle pratique.
    
    Bien entendu, il était exclu que ses amants d’occasion aient accès en dessous de sa ceinture, sa virginité était un trésor inaccessible avant une cérémonie nuptiale.
    
    Et puis, vint le jour où le crapaud baveux se révéla être un prince charmant d’une famille convenable, qui accepta de se satisfaire des jeux de mains et de langue, jusqu’à ce que leur relation s’avère solide.
    
    Ils commencèrent alors à faire savoir à leurs familles respectives qu’ils éprouvaient un intérêt l’un pour l’autre et les deux dynasties s’enquirent des arbres généalogiques et de l’état de fortune de chacun. La relation fut agréée et une première rencontre eut lieu, un dimanche matin sur le parvis de la cathédrale, à la sortie de la grand-messe.
    
    Béalaure fut invitée à un repas dans sa future belle famille et eut l’honneur de réciter, en français, le Benedicite. Plus tard, reçue chez les aïeux, elle se les concilia en récitant le même Benedicite en latin.
    
    Le projet matrimonial étant, dès lors, clairement exprimé, elle laissa à son presque fiancé l’accès à sa blanche culotte. Il la fit jouir respectueusement du bout des doigts et du bout de la langue, tout en respectant l’hymen sacré.
    
    Les fiançailles furent célébrées au printemps, peu après la fin du carême, ça va de soi.
    
    Et c’est alors que, dans la conversation, je réalise que Béalaure vient de me révéler que la langue latine n’est pas tout à fait un secret ...
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