1. Comment satisfaire ma chef.


    Datte: 29/12/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Renifleur, Source: Hds

    ... de Laëtitia qui s’empresse de soulever une jambe puis l’autre pour se séparer de son sous-vêtement. Prise de fièvre elle le frotte contre sa vulve trempée en insistant sur son clitoris dardé, s’arrachant quelques gémissements de plaisir.
    
    Elle se mord les lèvres, se caresse encore. Les yeux fermés, elle enfonce ses doigts couverts de lin dans son sillon brûlant, les fait coulisser lentement entre ses petites lèvres. Je suis abasourdi par ce que je vois. Je ne peux m’empêcher d’empoigner sa petite lingerie de sa main, et je la porte à mes narines. Je l’hume de manière obscène. M’emplissant de ses effluves de femme en chaleur.
    
    -Tu sens comme je te désire, ma culotte te prouve comme j’ai envie de toi.
    
    Je reste sans voix. Je suis totalement enivré par les fragrances aphrodisiaques de ses sécrétions intimes imprégnées sur son slip. Totalement satisfaite de son effet, Laëtitia me pose de nouveau la fameuse question :
    
    -Tu montes maintenant ?
    
    Je n’en crois pas mes oreilles. Cette femme, à côté de laquelle je travaille tous les jours, depuis si longtemps, qui me propose une telle chose…
    
    Je retire les clefs du contact et ouvre ma portière. Laëtitia est aux anges, elle a gagné.
    
    Une fois chez elle, je veux prendre l’initiative mais elle m’en persuade.
    
    -Attends-je veux te montrer encore quelque chose ! Me lâche-t-elle en prenant place sur le divan en cuir blanc.
    
    Là, béate, Laëtitia se caresse longuement son genou, puis elle remonte sa main droite vers l’intérieur ...
    ... de ses cuisses et tout cela avec une pointe de perversité, qui m’étonne chez elle. Son corps se soulève et s’abaisse a un rythme du plaisir qui commence à l’envahir. Elle écarte les cuisses au maximum, comme si elle voulait déboiter ses articulations.
    
    Elle prend sous la mousse blonde de son sexe, le clitoris vertigineux qui s’érige orgueilleusement, entre le pouce et l’index. Les autres doigts, elle les rassemble et les enfouit entre les lèvres, charnues et humides et sa féminité. À cette évocation, le jeu du poignet se fait plus rapides et plus rythmés que précédemment, les doigts agiles font un bruit de succion mouillée dans le sexe où ils vont et viennent. Déjà elle halète.
    
    C’est l’instant que je choisis pour y mettre mon nez, respirant en profonde inspiration l’odeur entreprenante de son sexe en ébullition. D’un coup de langue, j’ouvre les lèvres mouillées, en même temps que je plaque mes lèvres avides. Je trouve la source, ma langue affolée s’y engouffre. Laëtitia se cabre en gémissant sous le plaisir qui l’envahit. De ses deux mains, elle ouvre son décolleté et fait jaillir les pointes de ses seins hors de leur nid douillet. Lentement elle les caresse avec ses paumes, les faisant durcir sous l’effleurement. Puis elle les prend entre le pouce et l’index et commence à les titiller en les pressant de plus en plus fort.
    
    Ma langue, exacerbée par le désir, s’agite en un va-et-vient presque rageur. Il tourne autour d’un bouton rose qui durcit. Elle balance son ventre ...