Irène
Datte: 22/07/2019,
Catégories:
Première fois
Auteur: Gus-solo, Source: xHamster
... n’attendre que ça pour m’achever et a accéléré le mouvement. J’ai voulu la repousser un peu quand j’ai senti que j’allais exploser, mais elle a refusé de me lâcher la bite et très vite une première salve de sperme a giclé dans la bouche. Elle a accueilli les autres sur tout son visage exalté avant de recueillir les dernières gouttes sur sa langue… je me suis écroulé vaincu (en un seul mot, cette fois ci).
Quelques instants plus tard, je ressuscitai de ma petite mort et mes yeux s’ouvrirent sur un spectacle que je ne pensais jamais voir dans la réalité. Elle était enfoncée dans l’autre coin du divan, les cuisses grandes ouvertes, une main se baladant entre l’entrée de sa chatte et son petit bouton affamé pendant que l’autre titillait ses tétons ou récoltait le sperme sur ses joues pour l’apporter à sa bouche. Les yeux grands fermés elle était parcourue de spasmes et je restais scié qu’une fille puisse tellement s’exciter en suçant une queue.
Après quelques minutes de ce spectacle, je me suis agenouillé devant elle pour offrir plein de bisous à l’intérieur de ses cuisses ou à sa zone la plus sensible.
– Mmmm… monsieur est gentleman… c’est gentil ça… j’aime beaucoup… oui, encore... là, Hahh encore, encore…
J’avais déjà léché des foufounes, mais jamais je n’en avais trouvé une d’aussi offerte. Elle s’ouvrait sans retenue en tirant mes cheveux pour que j’enfonce ma langue au plus profond… en deux ou trois minutes elle fut prise de spasmes et je reçu une belle giclée ...
... d’un liquide inconnu qui m’étonnai beaucoup.
On était dans les années nonante et comme je le disais plus haut, internet n’avait pas encore démontré la réalité de l’éjaculation féminine. Les gynécologues, urologues, sexologues et autres spécialiste des boyaux du cul, pour la plupart masculins, refusaient d’admettre qu’une femme puisse éjaculer. Pire, ils laissaient croire aux filles qui jouissaient comme ça que c’était de l’ordre de la perte de contrôle des sphincters, laissant supposer aux dames qu’elles pissaient dans leur plaisir. Ce qui évidement n’arrangeait rien à la culpabilité liée au plaisir féminin. Heureusement, ma bienheureuse avait une gynécologue très féministe et elle savait exactement ce qui lui arrivait. Elle m’a expliqué qu’elle était « fontaine » et que ce n’était pas de l’urine. J’ai été très heureux d’apprendre quelque chose.
Pendant quelques minutes nous nous sommes regardé en souriant bêtement mais sans rien dire. Je détaillais ses courbes, je la trouvais belle à mourir et je n’en revenais pas du plaisir qu’elle venait de m’offrir. Degré par degré, ma queue recommençait à faire la maline et je revis son si particulier regard.
– C’était très bon, merci…
– C’est moi qui te remercie, j’ai vraiment adoré ta bouche, dommage que toutes les filles ne fassent pas ça comme toi…
– Elles aimeraient bien, je t’assure, mais elles n’osent pas, elles ont peur de passer pour des salopes…
– Si elles savaient à quel point on aime les salopes…
– Toi, ...