1. L'amour en pleine nature


    Datte: 28/12/2024, Catégories: fh, 2couples, couple, couplus, vacances, plage, bain, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, intermast, Oral 69, pénétratio, fsodo, libercoup, Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... leur frénésie érotique, laissèrent l’eau du ciel cascader sur leurs peaux nues avant de se détacher, ravis de cet impromptu qui les avaient totalement sortis de leur routine hivernale.
    
    À force, ils avaient perdu la crainte d’être surpris par des tiers, mais l’approche d’un tracteur les obligea parfois à interrompre prématurément leurs ébats. En fait de surprise, ce furent eux qui la causèrent un jour à un autre couple d’âges mûr en plein 69 alors qu’eux-mêmes cherchaient l’endroit où se poser.
    
    — Excusez-nous, on ne fait que passer, dit Kevin, qui crut bon d’ajouter qu’ils allaient « faire la même chose ».
    
    Et c’est ainsi que deux couples, séparés par de maigres frondaisons, copulèrent joyeusement en stéréo, les cris d’Audrey répondant aux jappements de la femme mûre. Une fois rhabillés, ils échangèrent quelques considérations sur les plaisirs de l’amour en pleine nature, effectuèrent quelques centaines de mètres à pied ensemble avant de se séparer et de se saluer. Audrey avoua plus tard à Kevin que la présence voisine de ce couple fornicateur avait fortement contribué à son plaisir, ce qui ne fut pas sans conséquence par la suite, on le verra.
    
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    Mais pour l’heure, ils profitaient pleinement en vacances des ressources naturelles. La présence d’un tronc d’arbre abattu pouvait par exemple offrir un siège intéressant pour un cunni. Ils avaient aussi appris à utiliser l’appui d’un arbre pour Audrey afin que Kevin puisse la prendre debout par-derrière sans se ...
    ... déchausser. Elle aimait particulièrement faire corps avec le tronc qu’elle étreignait comme un amant supplémentaire pendant qu’elle encaissait les coups de bite. Une petite rivière au cours lent donnait parfois lieu à une baignade en tenue d’Ève et d’Adam, suivie aussitôt d’un accouplement humide en séchant au soleil. Ils privilégiaient, autant que faire se pouvait, la nudité intégrale au lieu de conserver leurs brodequins, fort peu érotiques. Le plafond du ciel, la caresse du vent, le bruit des feuilles, l’impression de transgresser en étant nus là où l’habit était la règle, tout contribuait à leur extase si bien qu’Audrey avoua en plein champ un jour à Kevin, un peu surpris, alors qu’ils venaient de changer de position sur le drap :
    
    — Ici, je ne fais pas l’amour, je baise.
    
    Et effectivement, Audrey baisait, sans retenue, bruyamment, à tel point que Kevin se demandait si sa compagne n’était pas devenue sa maîtresse.
    
    Leur seul ennemi n’était pas l’intrus humain mais la tique, plus vicieuse que le moustique, et un accouplement agreste était suivi dans les heures suivantes par une exploration mutuelle de leurs replis afin de débusquer l’éventuel parasite. Charmante fut en revanche l’irruption, un après-midi, d’une biche alors qu’Audrey faisait danser sa croupe sur la bite de Kevin allongé. Lorsqu’il besognait sa compagne en missionnaire, Kevin laissait toujours ses yeux balayer l’environnement pour repérer une éventuelle présence mais le spectacle de la brune en extase ...
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