1. « Matrone et Domina : Tullia, une patricienne hypersexuelle dans la Rome impériale » (29) : Titus et Tullia»


    Datte: 27/12/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    *** RECIT FICTIF POUR LECTEURS AVERTIS
    
    AVERTISSEMENT
    
    Cette histoire, construite autour de l’hypersexualité de Tullia, contient forcément des scènes de sexe, quelquefois très « hard », voir brutales et qui correspondent à la psychologie des personnages et aux mœurs de l’époque. Au fur et à mesure de la rédaction des chapitres, j’ai voulu également situer ces personnages dans le contexte et les mœurs de la Rome impériale. Je remercie donc les lecteurs et lectrices qui ne viennent pas ici que pour les passages de sexe, mais qui partagent ce besoin de connaissance.
    
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    RESUME DES CHAPITRES PRECEDENTS
    
    La mort de Messaline a fait perdre à la jeune patricienne Tullia à la fois son mari, Lurco et son amant et grand amour Vettius Valens. Obligée de quitter Rome, mais riche et libre, elle gagne Baïes, la cité des plaisirs, où elle donne depuis libre cours à son hypersexualité.
    
    Depuis un scandale, à l’occasion de la fête de la « Bona Dea », elle ne bénéficie plus du soutien d’Agrippine, dont l’influence auprès du jeune empereur Néron décline. Mais Tullia reste protégée par deux de ses amants bien placés, le philosophe Sénèque et Tigellin, l’âme damnée de Néron.
    
    Tullia a fait, grâce à son amie Fausta, la rencontre de deux jeunes gens, Lucius et Julia, nièce de Fausta, qui entament, chacun de leur côté, une relation intime et passionnée avec Tullia, qui veille à leur éducation et favorise leur rapprochement.
    
    Un grand banquet organisé à l’occasion des Saturnales, ...
    ... la fête la plus débridée du calendrier romain, est une nouvelle occasion de rencontre des jeunes amants de Baïes. Mais il y aussi beaucoup d’autres invités, dont un jeune inconnu qui ne cache pas être attiré par Tullia. Il en est de même pour la jeune patricienne.
    
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    Les convives ont déjà été particulièrement émoustillés par la chorégraphie érotique des danseuses de Gadès.
    
    Alors que la nuit se prolonge, c’est le moment de la « commissatio », celui où on boit et où le banquet tourne à l’orgie. Les vins les plus raffinés sont offerts, en particulier le Falerne, fruit des vignes des pentes du Vésuve et le Cécube du Latium. Tullia et Fausta offrent aussi ce soir-là des grands crus en provenance de Gaule et de Grèce. Le « roi de boisson », Claudius, amant de Fausta, impose à chacun le nombre de coupes bues.
    
    Les convives se lâchent à grands renforts de cul-sec ! La tradition est de porter, avec une coupe remplie à la mesure prescrite, un toast à la santé d’un convive. On tend la coupe à la personne désignée, qui doit la vider jusqu’au fond. Ou bien on porte un toast à un absent. Autre possibilité, boire à la santé d’une personne présente, en exigeant autant de cyathi, l’unité de mesure à l’époque, qu’il y a de lettres dans le nom de la personne en l’honneur de qui l’on boit. Dans tous les cas, d’ailleurs, l’exigence est de vider la coupe d’un trait, sans reprendre haleine ni laisser une goutte.
    
    Claudius s’adresse d’abord à Julia, en l’invitant à vider sa coupe en ...
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