Lucie : Chantage Total au Bureau 01
Datte: 24/12/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byaxelmaubuisson, Source: Literotica
... à la tête de trainée que j'avais au moment de la jouissance.
-- Ce n'est pas possible ! Ne les divulgue pas, je t'en supplie !
Elle me coupa sèchement la parole.
-- Ferme là, tu n'es pas en position de discuter. J'ai bien réfléchi cette nuit et je suis prête à ne pas divulguer les photos à une seule condition. Dans ma grande bonté, je te laisse un choix.
-- Soit je divulgue la vidéo et les photos de ta débauche à toute la boite et spécialement à ton fiancé. J'aurais un grand plaisir à me débarrasser de toi et à assister à ton lynchage public.
-- Soit cela restera entre nous, mais tu te soumettras aux moindres de mes désirs jusqu'à la fin de ta période d'essai, soit 2 mois et j'ai bien dit tous mes désirs sans exception. J'ai toujours voulu avoir une esclave.
-- Si tu acceptes cette proposition, tu te mets à genoux les mains derrière le dos, la tête baissée, là tout de suite. Tu as 10 secondes pour te décider. 10, 9...
Ma tête se décomposait, j'avais pensé à tant de choses sauf à cela. M'imaginer à sa merci en permanence, moi qui étais bien appréciée au bureau. J'avais du mal à concevoir les conséquences de cet engagement. Mais de l'autre, l'enjeu était trop gros entre mon boulot et mon fiancé. J'avais encore un espoir, il restait une porte de sortie avec la deuxième proposition. Quelque part, il ne s'agissait « que » de deux mois, a priori rien d'impossible ! Si tout reste privé, ma situation pourrait ne pas être impactée. Même si être à sa merci ne ...
... m'inspirait rien de bon...
-- Comment puis-je savoir que tu ne divulgueras jamais la vidéo ? demandai-je.
-- 8... tu n'as pas d'autre choix que de me faire confiance. 7... 6... 5... plus que 4 secondes avant l'envoi de la vidéo. J'ai le doigt sur le bouton de publication.
Cécilia était aux anges, elle gagnait dans les deux cas. Son sourire sadique trahissait sa joie d'avoir la mainmise sur moi. J'hésitai tremblante, les pensées se succédaient dans ma tête, puis finalement, je m'étais convaincue sur le moment qu'il valait mieux une humiliation en privé qu'en public.
Je capitulais, me mis à genoux, les mains dans le dos, et le regard bas. Mon aplomb quotidien n'était plus qu'un souvenir. Comment ai-je pu en arriver là ? Les choses allaient trop vite...
Cécilia semblait ravie de ce choix, elle avait sûrement passé la nuit à réfléchir au meilleur moyen de m'en faire baver. Je ne savais pas ce qu'elle avait prévu, mais j'imagine que m'avoir moi, sa rivale, comme « esclave », quoique cette expression couvre, correspond bien à un de ces plus grands désirs.
Même si elle n'aura pas le plaisir de me dénigrer en public, elle se délectera en compensation, de ma soumission pendant deux mois !
Elle reprit la parole.
-- Soyons clairs : tu devras exécuter tous mes ordres sans objection. Tu devras me demander la permission pour tout. Tu seras me sera dévoué, tu seras mon objet aussi bien au bureau qu'ailleurs. En contrepartie, je m'engage à ce que ton côté salope en chaleur ...