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Datte: 24/12/2024,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Popple, Source: Hds
... connaissais mal la ville, j'en avais pllein les bottes... et j'étais en vacances ! Bien que gêné de ne pas avoir prévenu, je reportais la question et je continuai mon chemin. J'étais heureux d'arriver peu avant dix-sept heures.
Sous les averses incessantes, le paysage était caché et les couleurs étaient voilées de gris. J'ai trouvé sans difficulté le vieux mas isolé dans les collines. Le portail était ouvert, je me suis avancé jusque dans la cour et je me suis garé. J'avais une inquiétude : à cette heure finalement précoce, les occupants n'étaient peut-être pas là, mais plutôt en promenade ou en train de faire quelques courses. Mais la présence de trois autres voitures m'a rassuré et j'ai atteint la maison à la recherche d'une sonnette... que je n'ai pas trouvée.
J'entendis un peu de musique venant du côté. Je me suis alors aventuré jusqu'à la façade donnant sur le jardin, après avoir franchi un portillon en bois qui n'était pas verrouillé. La pluie avait cessé et le soleil réapparaissait maintenant, déchirant quelques nuages. La lumière jaillissait de partout, mais tout dehors était encore trempé et une intense moiteur régnait. Tout autour de la maison, des rideaux d'arbre apportaient l'intimité. Parmi les nombreuses ouvertures de la maison, la plupart masquées par des volets rabattus, une petite porte vitrée était ouverte, donnant sur le salon. Je me suis doucement glissé dans l'encadrement avec l'idée de surprendre mon ami Sam et les autres invités. En réalité, ...
... c'est moi qui fut le plus surpris.
Au milieu du salon, je reconnus tout de suite Nathalie. Je ne l'avais pourtant plus revue depuis au moins vingt ans, et jamais nue comme elle l'était à cet instant. Je ne l'avais jamais vue non plus ainsi à genoux au sol avec une bouche déformée par une bite comme celle qu'elle suçait goulûment. C'était celle d'un mec que je ne connaissais pas, assis dans le canapé, nu lui aussi. Il s'agissait de Philippe, le mari de Anne, l'autre couple dont Sam m'avait annoncé la présence. Ils me furent présentés bien plus tard. Pour l'instant, derrière Nathalie, nu lui aussi, les mains ancrés sur ses hanches, Sam la remuait assez brutalement, lui labourant la chatte de sa queue. Je pris alors conscience des bruits de la pièce, des « floc-floc » caractéristiques des peaux en sueur qui claquent, et d'autres bruits de respiration, des grognements qui rappellent que les hommes et les femmes ne sont en fait que des animaux. Sur ma gauche, dans un deuxième canapé, je vis deux femmes que je ne connaissais pas et qui se gouinaient. L'une d'elle était assise dans l'angle, les cuisses écartées tandis que l'autre lui dévorait la foufoune. La première partageait son attention entre son propre plaisir et le téléphone avec lequel elle était en train de filmer tout ce qui se passait dans le salon.
Personne ne parlait. On n'entendait ainsi que les bruits de chair et la musique de fond, jusqu'à ce que Sam rompit le silence pour « complimenter » Nathalie :
« - Oh ...