1. Rentrée des classes


    Datte: 22/12/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Couple-subtil, Source: Hds

    A notre retour à Paris après un séjour torride au Cap jusqu’à la mi-août nous vécurent quelques semaines de repos. Un peu comme un champion après une grande compétition il nous fallait recharger nos accus. « Tu crois que je me suis fait prendre par combien de mecs ?
    
    - Je dirais une trentaine.
    
    - En une semaine c’est pas mal. » Chrystèle évitait d’évoquer le fait que son compagnon, Léopold, avait lui aussi gouté au plaisir de se faire prendre. Une seule fois certes mais une fois qui lui avait beaucoup plu. De son côté Léopold évitait de demander à Chrystèle si son programme libertin de l’année incluait de revoir de nouveau leur amant du Cap, Christian, un quadragénaire très viril qui les avait dominé et donné un plaisir inédit à Chrystèle.
    
    Tout en admirant la lourde poitrine de sa compagne, 29 ans, un bon mètre 75 de sensualité, de grandes jambes, s’habiller le matin, Léopold pensait à la soirée à laquelle on les avait convié : La rentrée des salopes. Dress code : écolière. C’était le lendemain qu’ils y étaient conviés et Chrystèle avait acheté pour l’occasion une jupette très mini à carreaux écossais qui cachait à peine son sexe.
    
    « Bienvenue chez Leopardo. » L’homme qui les reçoit ce samedi soir de la première semaine de septembre doit approcher la cinquantaine. Chauve, un peu bedonnant, il possède un donjon dans une maison posée au pied d’un immeuble du Marais. Quand ils font leur entrée dans les lieux, cinq couples sont déjà présents. Et également cinq hommes ...
    ... seuls. Les autres femmes sont également en petite jupette. Couettes ou queues de cheval elles font assaut d’inventivité. Une grande rousse à la peau tachetée de taches de rousseur a même un cartable sur le dos. Chrystèle se contente de sa jupette et d’un chemisier qui laisse apparaître le haut de ses seins.
    
    Le décor est soigné. Chaque femme a sa propre table de travail en format collège. Celui qui se fait maître Leopardo leur demande de s’y asseoir sous le regard égrillard des cinq hommes seuls – trente à cinquante ans – et des cinq maris amusés. « Voyons, une question simple. Qui a gagné la bataille de Trafalgar », interroge le maître, une grande règle en bois dans les mains. Une des femmes ne sait pas répondre. La châtiment est immédiat. Une fessée sur ses genoux. C’est une petite brune aux gros seins et aux hanches épaisses qui s’y colle. Pour un premier châtiment le maître ne la fesse pas très durement mais promets : « Pour la prochaine ce sera plus dur ».
    
    Les questions s’enchainent. Ces dames doivent également venir au tableau noir – tout est prévu – pour les épreuves. C’est enfin le tour de Chrystèle qui s’est littéralement liquéfiée sur sa chaise où ses fesses nues reposent. « Vous allez me dessiner un triangle isocèle. Vous savez ce que c’est ? » Chrystèle n’en a plus aucune idée et se lance dans le dessin d’un triangle qui n’a rien d’isocèle. « Voyons mademoiselle, ce n’est pas sérieux », l’engueule le maître pendant qu’elle pouffe comme ses camarades de classe, ...
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