1. La vaisselle…


    Datte: 22/07/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Peden, Source: Hds

    ... soupir à d’Élise, crispée par la caresse impudique.
    
    Martin et Élise semblaient bavarder, pendant que Chiara et Alban continuaient de faire la vaisselle… innocemment ? Alban ne cessait de loucher sur la chemise de treillis de Chiara, les deux boutons du haut négligemment ouverts sur une gorge appétissante et le bas noué révélant un nombril métaphoriquement offert, mais Chiara, joueuse, menait sa tâche à bien et feignait d’ignorer le désir d’Alban.
    
    Martin retira sa main droite du slip d’Élise pour la lui poser sur l’épaule, lui caresser le visage et l’attirer vers le sien pour l’embrasser à pleine bouche tandis que sa main gauche, ouvrant son corsage et écartant l’obstacle du soutien-gorge, prenait possession de ses seins. Élise se voyait perdue, lutinée, troussée, pelotée, caressée, sans défense devant cette invasion virile. Annie tenta d’appeler Alban à l’aide, mais celui-ci semblait n’avoir d’yeux que pour sa camarade de travail. Aussi, quand Martin lui proposa d’aller dans la chambre à coucher, Annie hésita, mais, excitée par la lubricité qu’elle lisait dans les yeux de son futur amant, elle ne put que lui répondre, d’une voix rendue faible par le désir qu’elle sentait monter, irrésistiblement, en elle.
    
    « Oui, allons-y, si tu veux… »
    
    Ils se levèrent et se dirigèrent vers le fond de l’appartement, Martin tenant par la taille une Élise yeux baissés, les bras ballants, le chemisier ouvert, les seins impudiques qui s’exhibaient hors de son corsage ouvert. Quand ils ...
    ... passèrent devant la porte de la cuisine, Alban vit sa chérie, le corsage dévasté, béant sur ses beaux seins libérés, la taille prise par le bras de Martin qui, d’un ton badin, leur dit : « Nous allons faire une petite sieste… » et il fut foudroyé par un tsunami de jalousie et de sensualité mêlées. Eperdu, il les vit entrer dans la chambre à coucher, mais le regard prometteur de Chiara (qui signifiait « Ils ne vont rien faire de plus que ce que nous avons fait et que nous allons faire ») le rassura.
    
    La vaisselle dura encore un bon quart d’heure, lourd pour Alban qui imaginait sa femme échangeant mille caresses (et plus !) avec Martin. N’y tenant plus, il lâcha sa tâche pour aller jusqu’à la chambre : Elise était allongée sur le lit, les jambes écartées, le corsage ouvert et la jupe retroussée, pendant que Martin, torse nu, l’embrassait à pleine bouche tout en lui caressant le sexe maintenant nu, libéré de toute entrave, offert… Remué par ce qu’il venait de voir, il s’en revint dans la cuisine pour retrouver une Chiara qui lui sourit tendrement. Sa pensée ne quittait pas la chambre, d’où provenaient quelques gémissements, sans qu’ils sussent de quelle bouche ils sortaient.
    
    Quand il eut essuyé le dernier couteau, le sourire coquin de Chiara signifia à Alban qu’ils allaient pouvoir effectuer leur entrée en scène. Elle s’approcha lentement de lui, lui tendit ses lèvres, dont il s’empara fiévreusement tandis que ses mains remontaient sous la chemise pour aller à la rencontre ...